Ventirad Akasa Venom Voodoo, page 2

La première chose qui frappe les yeux, presque littéralement, est la couleur jaune retenue par la marque. On aimera ou non, mais il faut avouer que ça a le mérite de changer, d'autant plus que la petite grille en mesh intégrée au top en plastique rend très bien.

Que ce soit ce plastique ou les ailettes en aluminium, il n'y a rien à redire sur la finition. C'est propre, très propre. Les ailettes sont découpées en dents de scie sur le milieu, avec une partie concave et une autre convexe. Il conviendra donc de bien vérifier le sens des ventilateurs, même si, dans l'absolu, il ne devrait y avoir qu'une infime différence entre une installation normale et une erronée.

La base, en Direct Touch, accueille six heatpipes Ø6mm. Là encore, la finition est bonne, même si on trouve mieux sur ce genre de technologie. Le dessus de la base est équipé de quatre trous, qui permettront de visser les modules de fixation.



Les deux ventilateurs de 120mm sont PWM, et tournent de 600 à 1900rpm. Une plage plutôt importante, qui devrait assurer de grosses performances ou du silence.
On retrouve le schéma jaune et noir, qui, encore une fois, ne fera pas l'unanimité. Cadre noir, pales jaunes, et tétines jaunes. Car les ventilateurs s'installent sur deux supports en plastique souple via des tiges en silicone. L'installation sur les ailettes est simple et rapide, à condition de bien viser sur le haut, entre l'ailette et le top.



Malgré la taille du radiateur, l'installation est très simple. Un grand merci à Akasa, qui a eu la bonne idée de placer d'origine les tiges filetés sur les backplates.

On choisit donc la backplate en fonction du socket, on l'installe, et on pose le radiateur. Les quatre tiges filetées traversent les pattes, qui sont bloquées par des écrous. Ecrous qui s'installent facilement à la main, ou via un tournevis si besoin.

Logiquement, le premier slot pour la mémoire est occupé.