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Test Souris Gigabyte Uranium, page 2

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Publié le 18 Novembre 2013
Page: 2/5



La souris en elle-même fait valoir une belle finition, les ajustements sont précis, l’ensemble est bien ébavuré. Bref, c’est propre. C’est au niveau des matières que nous sommes moins séduits. En effet, Gigabyte reste encore du côté des plastiques durs, granuleux, pas des plus valorisants. Ce n’est pas catastrophique, nous ne sommes tout de même pas face à une souris franchement cheap. Mais pour le positionnement haut de gamme, nous aurons vu mieux. Le look est bon, même si quelques points spécifiques, les boutons notamment, louchent du côté de Logitech. Enfin, elle est assez massive, et surtout, piles rechargeables en place, assez lourde.

L’arrière de la coque n’est pas particulièrement bombé et possède une arête qui se creuse en remontant vers les boutons de changement de DPI. A ce niveau, la coque fait appel à du plastique dur lisse, doux et mat. Une fine fente permet de séparer les clics du reste de la coque. Dans l’arête longitudinale, nous allons trouver deux boutons tout en longueur, ainsi qu’un bouton basculeur. Située en avant de cela, la molette s’intègre dans une partie de plastique laqué noir. Elle est quadri-directionnelle. Elle se pare d’une bande de caoutchouc noir et lisse. Sur le clic gauche, nous avons deux boutons badgés G1 et G2.

Les parties latérales sont assez simples. A droite, une taille fine suivie d’un renflement sur l’arrière amènera un peu d’ergonomie, mais cela reste soft. A gauche, un évidement pour le pouce est surmonté de deux boutons est accompagné d’un marquage Aivia sur l’avant en bas. L’avant de la souris est sobre et porte le micro-USB de rechargement. Sous la souris, quatre patins placés aux extrémités de la souris assurent la glisse, un patin circulaire entoure le capteur. Il y a aussi une trappe, derrière laquelle, nous découvrons l’emplacement des piles rechargeables fournies.

Reste les deux boutons, le premier d’appairage et le deuxième de d’extinction/allumage de la souris. La base quant à elle se pare d’un écran d’information orientable. Un marquage translucide Aivia est placé juste en dessous, à la connexion, il s’illumine de bleu. Sous cet écran, nous avons un câble micro-USB sur enrouleur pour assurer la recharge de la souris. Sur le dessus de la base (qui ressemble vu de coté à un Vlagos), sont incorporés deux boutons. Chaque côté de la base accueille un marquage Aivia. Enfin, sur l’arrière, part le câble gainé de grosse section terminé par deux USB. Sous la base, deux patins de caoutchouc aident à la stabilité.









Au niveau de la technique, l’Uranium se dote d’un capteur 5600 DPI avec une extrapolation logicielle à 6500, qui encaisse pas moins de 50 G d’accélération. Il s’agit d’un Twin-eye, sans indication sur la provenance. La vitesse maximale de tracking est de 150 ips. Elle possède 10 boutons programmables. Le polling rate s’établit bien sûr à 1000 Hz. Elle se connecte aussi de manière filaire que sans fil à 2,4 GHz. Les dimensions sont les suivantes : 130 x 78 x 40 mm pour un poids annoncé de 180 grammes, batterie en place (123 sans).

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Marque : GIGABYTE