Souris Razer Naga 2014, page 3

En ce qui concerne le soft, aujourd’hui, chez Razer, tout passe par Synapse 2.0. En premier lieu, il faudra aller le chercher directement chez Razer. Ensuite, dans un second temps, l’utilisateur est invité à créer un compte. L’idée est de centraliser tous les périphériques Razer et de conserver les réglages sur un serveur. D’ailleurs à la connexion de la 2014, il nous propose tout simplement d’importer les réglages de la version précédente. Ce que nous avons bien évidement accepté.

La fenêtre s’articule autour de trois onglets. En haut à droite, nous trouvons le nom du compte qu’il est bien évidemment possible de changer en fonction de l’utilisateur. Sur la droite de la fenêtre, l’utilisateur sélectionne le profil sur lequel il souhaite travailler et intervenir. Comme avec la précédente version, il reste possible d’affecter un profil spécifiquement à un jeu ou à un programme, dès son lancement.

Dans le premier onglet Souris, le premier sous-onglet, qui possède lui quatre sous-onglets à cliquer dont le premier se prénomme Personnaliser. C’est ici que se traiteront les questions d’assignation. La Naga 2014 propose pas moins de 8 profils en ce qui concerne les boutons et le pavé latéral. C’est là que l’on récupérera les macros que l’on aura, au préalable, programmé dans le Macro. Le deuxième sous onglet s’intitule Performance. Ici, le sujet est celui de la gestion du capteur. Un lien à cliquer (encore une fois) permet de paramétrer les cinq niveaux de DPI, par pas de 100. C’est aussi ici que se règle l’accélération du curseur (de 0 à 10) ainsi que le polling rate. Le troisième sous-onglet traite de l’éclairage. Trois zones sont disponibles, molette, pavé et logo arrière. Une option Désactiver l’éclairage quand l’écran est éteint. Le dernier sous-onglet est celui du calibrage. Un peu comme Mionix, Razer vous propose à la fois d’apprécier la qualité de la surface et de la calibrer par rapport au capteur. Certains tapis, Razer, sont déjà pré-calibrés, pour les autres, il faudra passer par la case automatique. Enfin, le lift off est modifiable et c’est ici.

Le deuxième onglet principal est celui des macros. Le séquenceur est très classique, de même que les options. On retrouve ainsi la latence entre saisies, sans, automatique ou manuel. La manipulation est classique, on nomme, on enregistre et le tour est joué. C’est relativement simple. Pendant la saisie de la macro, il sera possible par l’intermédiaire de boutons sur le soft de monter ou descendre telle ou telle touche.

Enfin l’Extension permet de lancer un manager de macros à la volée en jeu ou en pleine utilisation. La combinaison de deux touches (hot key, ² par défaut et de Alt) permet d’afficher un gestionnaire simplifié de macros et donc de saisir icelle à la volée.

Razer améliore son Synapse qui n’était pas forcément au top dans les premiers temps. Lors de ce test, nous n’avons aucun bug à déplorer et c’est à noter car l’évolution, tant dans l’utilisation que dans la stabilité est à saluer.