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Souris Ozone Neon, page 4

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Publié le 23 Avril 2014
Page: 4/5



Que dire de cette Neon en ce qui concerne l’ergonomie. En fait, il est évident que l’ergonomie, vu le fait que nous utilisons régulièrement une FK et quotidiennement une Kone Pure Optical, ne nous aura absolument pas surpris. Au contraire, nous sommes clairement en terrain connu, voire archi-connu. La prise en main est immédiate et ne demande aucun temps d’adaptation. Elle se glisse dans la main facilement. En revanche, il faut dire que, s’il est possible de la saisir en palm, ce n’est tout de même pas là où elle sera le plus confortable. En effet, elle est, au même titre que la FK, un peu basse, du coup, la main s’étale un peu trop pour être bien à l’aise. Par contre, en allant loucher du côté finger et claw, c’est du bonheur à l’état pur. Elle s’accommode parfaitement d’une prise en main claw, mais nous le répétons encore une fois, son ergonomie finalement très consensuelle lui permet d’accepter tous les types de prises en main. C’est bien là le point positif des ergonomies que nous avons l’habitude de qualifier de transparente.

Du côté des boutons, c’est aussi très bon. Les clics ont peut-être le défaut d’être particulièrement souples, presque insensibles sous le doigt. En se concentrant, on le ressent tout de même, mais en comparaison de notre Kone Pure Optical, ils semblent presque absents. Le déclenchement est tout juste sensible dans le bouton, en outre la course est assez courte. Pourtant, si le déclenchement est rapide, il reste audible, un peu dans les aigus. Les boutons latéraux du côté gauche sont tout à fait judicieusement placés et sont donc pleinement préhensibles. C’est un peu moins le cas à gauche, puisque celui, situé le plus en arrière, impose de bien replier le petit doigt pour aller l’activer. Cela dit, c’est une question d’habitude. La molette est clairement très souple, les crans sont assez neutres. Cela dit, elle est bien moins caoutchouteuse que la FK. Bref, à 49.90, nous serons donc moins critique avec celle-ci qu’avec celle de la FK, plus chère de 20 euros. Pour le coup, il ne nous reste qu’à évoquer le bouton DPI (que vous pourrez éventuellement réassigner si besoin est). Celui-ci permet donc de passer les DPI à la volée, il est bien placé tout simplement. De plus, il a l’immense avantage d’indiquer à l’écran dans un encart rouge le niveau de DPI sélectionné. C’est pratique, on ne galère plus à secouer la souris pour connaître le niveau retenu. Bref, au niveau du chapitre boutons, c’est plutôt tout bon.

La question du capteur est plus épineuse. Pourquoi pourriez-vous nous dire ? Tout simplement parce que clairement Avago bénéficie plutôt de bons échos en ce moment, principalement au niveau de la fiabilité. 6400 DPI n’est normalement pas une résolution Avago, nous aurions tendance à nous tourner du côté du Twin-Sense de Philips qui n’a pas forcément bonne presse en termes de tenue dans le temps. Au niveau de la précision, de la fluidité, il n’est pas critiquable. Il marche bien, permet de tout faire, que ce soit du jeu niveau PGM, comme niveau Fermiers (en gros ultra-PGM, quoi !), du boulot etc. A voir donc dans le temps, si notre hypothèse est la bonne. En tous les cas, encore une fois, 6400 c’est beaucoup, nous nous sommes contentés d’un 1800 DPI des familles.


Mise à jour le 23 avril 2014 à 15h40.

Il s'agit d'un capteur Avago 9500.


La glisse ne sera normalement pas un problème si la Neon se comporte comme une FK. Elle profite d’un poids contenu, 120 grammes, soit un peu plus que la FK, mais pour autant, ses larges patins n’en patissent pas. Evidemment, dans les premiers temps, il faudra que les arêtes aiguisées de ceux-ci s’usent afin de diminuer sensiblement le bruit. Le constat était identique pour la FK. En tout état de cause, sur notre Func 1030, la Neon glisse facilement, de façon très douce, avec un niveau de résistance très faible, voire inexistant. En revanche, c’est bruyant, patins neufs oblige, comme nous le disions ci-dessus. Cela dit, même si le rodage diminue le bruit, comme sur la FK, il ne disparaît pas. En effet, la coque fait office de caisse de résonnance. Cela n’est bien sûr pas catastrophique, mais pour le coup, la glisse est et sera plus bruyante qu’avec notre Kone Pure Optical. En passant sur le Steelseries 9HD, le constat est le même, toujours peu de résistance et une belle douceur dans le déplacement. Les gros grains profitent de l’effet lissant des grands patins. La Neon s’accorde bien aussi du Saitek Cyborg, il y a un peu plus de frottement donc de résistance. En revanche, on retrouve une glisse douce et silencieuse. Sur le Nova Winner III, elle fait tout simplement la même chose que la FK, à savoir pas d’aspect collant en début de mouvement, douceur et résistance tout à fait contenue. Sur le tissu, c’est tout bon. Il est vrai qu’avec des gènes FK, il était fort à parier qu’elle se sortirait de l’exercice avec les honneurs.



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Marques : OzoneNeoZone