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Souris Logitech Proteus G502, page 4

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Publié le 11 Septembre 2014
Page: 4/5



La G502 est une souris pour droitier, elle a un look assez marqué, pourtant elle propose finalement une prise en main relativement facile et consensuelle. Elle est un peu longue pour que l’on se sente pleinement à l’aise en finger. En outre, elle est plutôt pesante pour être maniée de telle manière. En revanche, pour les autres types de prise en main, cela se passe bien. En effet, elle accepte parfaitement le claw, avec une préférence pour le palm. On peut allonger intégralement la main dessus. Elle ne demande aucun temps d’adaptation. Le pouce trouve parfaitement sa place sur la plateforme prévue pour le pouce. Logitech propose toujours au joueur, finalement, des souris dont l’ergonomie est sans faille, presque transparente.

Au niveau des boutons, là encore, la souris est particulièrement agréable. D’une part, les clics répondent bien avec un déclenchement très ferme et une course très souple, assez longue. Traditionnellement, les boutons de DPI sont placés derrière la molette. Ce n’est pas le cas ici. En effet, la tradition Logitech est autre. En effet, le bouton immédiatement situé derrière celle-ci permet de débrayer la dite molette. Le défilement est de suite facilité. Surfer et scroller deviennent donc des formalités. Le bouton plus en arrière n’est pas spécifiquement allié à la montée ou la descente des DPI. De fait, il peut donc se contenter de missions moins prépondérantes car il est, lui, un peu trop en arrière pour être facilement accessible. Comme tous, il demande à ce que l’utilisateur lâche un peu la souris pour aller l’activer. Sur le côté gauche, c’est Byzance. En effet, les boutons sont bien placés, dotés de déclenchement net, facile et précis. Le Aim, même s’il est bien en avant, reste tout à fait accessible. Mention spéciale pour les deux boutons supplémentaires placés le long du clic gauche, surélevés de surcroît par leur aspect triangulaire, voire pyramidal. Ils constituent un vrai plus. Reste la question de la molette…En un mot, c’est une Logitech de jeu, elle est donc en métal, lourde et comme nous le disions ci-dessus, elle est débrayable. Les crans sont parfaitement marqués, le défilement aidé largement par le poids de la molette. Il semble presque accompagné de ressort. Bref, une molette comme il devrait y en avoir partout et sur toute la concurrence.

Le capteur ne nous est pas précisé. Cela dit, il est fluide et précis. Il ne décroche pas, il peut donc subir les pires traitements en jeu. En revanche, il faut le dire tout de même, 12000 DPI pour quoi faire ? Nous l’avons tenté, histoire de voir. Le constat est simple, soit nous sommes trop maladroits de nos mains, soit c’est trop, y compris sur du muti-screen. C’est tellement important que le simple fait de cliquer génère un déplacement incontrôlé de quelques millimètres à l’écran. Honnêtement, aucun intérêt. Par contre, à 2000 DPI, comme c’est notre habitude, les choses se sont bien passées.

Sur le plan de la glisse, nous n’avons pas mis en place les poids. La trappe est bien fixée à l’aide de pattes et d’un aimant puissant. Pour autant, la G502 est déjà assez lourde et ne mérite pas, en ce qui nous concerne, d’être encore alourdie. De fait, sur le Func, la G502 glisse facilement. Cela étant, elle résiste un peu plus que notre Kone Pure de tous les jours, cette dernière lui rend presque 40 grammes. Toutefois, la G502 a pour elle plus de patins, du coup, la glisse est un peu plus lisse et délicate. Elle est aussi moins bruyante. En arrivant sur le 9HD de Steelseries, même constat, la glisse est facile et les gros patins de la G502 amortissent largement le gros grain du tapis. Du coup, la glisse est, ici aussi, très lisse. Elle est même un peu moins résistante qu’avec le Func. C’est un excellent couple. Avec notre Saitek Cyborg, il y a un peu plus de résistance, mais c’est une ode à la douceur, à la lisseur. Le tapis et les grands patins s’allient pour fournir un amorti de premier ordre. Il y a toujours très peu de résistance. La G502 réussit l’exercice périlleux de notre vieux Nova. Elle parvient à dissiper totalement l’aspect collant du début de mouvement inhérent à ce tapis. L’on franchit un cap dans la résistance, mais elle reste faible. Pas plus dans l’absolu que sur notre dernier tapis, le tissu, et là aussi, beaucoup de douceur dans le déplacement. En fait, tout se résume en une phrase, la G502 glisse bien, il y a moins résistant, c’est sûr, mais elle glisse avec beaucoup de douceur.



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Marque : Logitech