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Souris Corsair Gaming M65 RGB, page 2

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Publié le 17 Novembre 2014
Page: 2/5



La souris, en elle-même, est une M65 White et elle est tout simplement très jolie, c’est un avis subjectif évidemment, dans cette livrée. La qualité de fabrication est au rendez-vous. C’est propre et bien fini. Les matériaux sont globalement très valorisants, notamment sur la partie supérieure de la coque, avec le plastique aspect laqué blanc et sur le dessous, avec le châssis en alu. Nous sommes moins séduits par le plastique granuleux des parties latérales, mais il faut lui reconnaître une belle qualité, une bonne épaisseur. Cela respire le solide et ce plastique vieillira certainement mieux dans le temps qu’un soft touch, car il ne risque pas de s’user et de laisser apparaître la couche plastique située en dessous.

La coque est donc assez spécifique, mais elle est identique en tous points à la première M65 de Corsair. La courbure est peu prononcé et l’arrière de la coque est assez rectangulaire, il porte le logo Corsair et le marquage Corsair Gaming. Ils sont tous deux translucides pour que l’utilisateur profite de la jolie lumière changeante. Les clics sont partie intégrante de la coque. Un encart noir accueille les boutons de montée/descente des DPI ainsi qu’un bouton fictif orné d’une sorte de mire. La molette dispose d’un espace ouvert. Elle est assez large, dotée d’une bande de caoutchouc crantée. Elle dispose aussi de sa propre zone d’éclairage.

Du côté droit, la M65 RGB est assez plane et ne propose pas spécifiquement d’ergonomie travaillée. Du côté gauche, nous retrouvons, à nouveau, une partie assez plane quoiqu’un peu courbée. Elle accueille les boutons, notamment l’excellent bouton Aim qui permettra d’abaisser temporairement le niveau des DPI, pour sniper par exemple. Nous y trouvons aussi deux boutons sur l’arête supérieure. De côté, lorsque l’on regarde la souris, le châssis avec ses ouïes nous saute aux yeux, d’autant que celles-ci s’illuminent grâce à la diode. En passant franchement sur le dessous, la souris découvre pleinement sa construction alu. Cinq patins se chargeront de la glisse. Ils s’accompagnent de trois grosses vis, qui cachent tout simplement les masselottes. Le capteur est placé au centre. Pour terminer, la face avant dispose d’une découpe assez particulière en raison de la pliure de la plaque alu et le câble, tressé, part sous la plus grosse d’entre elles, à gauche.









Pour ce qui est de la technique, la M65 RGB fait appel à un capteur laser de 8200 DPI qui encaisse donc 30 G d’accélération et 150 ips, il est fort probable qu’il s’agisse d’un Avago (la M60 en disposait). Le lift off est paramétrable, tout comme le polling rate. Les switches acceptent 20 millions de clics sans que l’on sache s’il s’agit ou pas d’Omron. Elle dispose donc de trois zones individuelles d’éclairage à 16.8 millions de couleurs. Les patins sont en téflon. Elle est pesée à 118 grammes toute nue, et de 140 grammes, masselottes en place, pour les dimensions suivantes : 115 X 77 X37 mm.

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