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Souris Corsair Gaming M65 RGB, page 3

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Publié le 17 Novembre 2014
Page: 3/5



Le soft a la même esthétique que celui du K70, et c’est bien normal puisqu’en fait, ce n’est rien d’autre qu’un ajout au soft principal. En effet, il intègre le Corsair Utility Engine. Pour le coup, il suffit sur le bas de la fenêtre d’aller sélectionner le périphérique sur lequel on souhaite intervenir. Ici, il s’agira donc de la souris. Le fonctionnement est donc identique à celui du clavier.

Nous retrouvons donc les questions de profils sur le premier lien. Ce lien permet d’intervenir sur les assignations de boutons, sur la « performance » et l’éclairage. En effet, c’est là que l’utilisateur pourra aller modifier l’attribution des différents boutons de la souris, chaque bouton peut ainsi recevoir une macro. En sélectionnant cette option, une nouvelle fenêtre s’ouvre, elle est un éditeur de macros complet puisqu’il reprend intégralement celui du clavier. On se retrouve donc, et ce n’est pas plus mal, avec un aspect commun qui aidera à la prise en main. En effet, nous l’avons dit pour le clavier, le pilote demande clairement un peu de temps avant de se sentir à l’aise avec. Il propose tellement de possibilités et est finalement « très neuf » qu’on l’appréhendera complétement après un peu de pratique. Cela dit, du côté de l’éditeur, les options sont classiques et complètes : boucle, latence entre saisies, prise en compte de l’appui sur le bouton voire même placer automatiquement la macro suivante dans une file d’attente à la fin de la macro en cours. Encore une fois, il faudra prendre son temps pour paramétrer tout cela, car cela ne se fait pas en un tour de main. Evidemment, on pourra sélectionner l’effet lumineux de son choix à l’exécution de la macro.

Vient ensuite l’onglet « Performance » qui permet de gérer les paramètres du capteur. Nous avons donc cinq niveaux. Les DPI sont réglables par pas de 50. C’est aussi là que se modifie la vitesse de déplacement du pointeur, ainsi que le lift-off. Celui propose pas moins de 5 hauteurs, de bas à haut en passant par mi-bas, etc.

Le dernier onglet est celui de l’éclairage, la principale nouveauté de cette M65 RGB. Pour le coup, mes trois zones sont identifiées et il suffit de sélectionner la zone sur laquelle l’on souhaite intervenir. Ensuite, le lien Liste des effets d’éclairage permet d’aller récupérer les comportements qui auront été programmés par ailleurs. Il est à noter que certains comportements sont impossibles à affecter à la souris et pour cause, l’ondulation par exemple demande plus que trois diodes. Ainsi, on conserve la possibilité d’avoir l’inclinaison, en gros une vague de couleurs sur une diode, et le mode continu. Les possibilités sont moindres qu’avec le clavier. Le bouton placé entre ceux de montée de DPI permet de visualiser en direct le niveau de DPI. En effet, sa couleur peut être reliée aux cinq niveaux de DPI de la souris, il sera possible d’aller modifier aussi l’intensité de l’éclairage.

Pour le coup, le soft comporte vraiment deux parties, une première spécifique au clavier et/ou à la souris, tout ce qui a attrait aux profils que chaque matériel peut embarquer. Et une deuxième partie beaucoup axé programmation des comportements des diodes, qui fera aussi office de bibliothèque tant pour les macros que pour les effets lumineux. Clairement, c’est un soft ardu, et nous devons reconnaître qu’à la fin de ce test, bien tout maîtriser n’est pas encore à l’ordre du jour.






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