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Souris Razer Naga Epic Chroma, page 3

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Publié le 11 Août 2015
Page: 3/5



Le soft, c’est Synapse. Il a bien évolué depuis sa mise en œuvre. A contrario d’autres marques que nous avons pu tester, Synapse est d’une stabilité exemplaire. Il n’en reste pas moins qu’il est très complet, peut-être comme Roccat, un peu trop, ce qui lui donne un petit côté usine à gaz. Usine à gaz relative car il reste aussi plus facile d’accès que le soft Roccat.

Tout s’organise autour d’une fenêtre sur laquelle l’utilisateur trouvera des liens qui, une fois cliqués, ouvrent des « sous-fenêtres » à l’intérieur de la première. Les profils sont directement intégrés au premier lien Souris. Celui-là même comporte des « sous-chapitres » : Personnaliser, Performance, Eclairage et Alimentation. C’est dans Personnaliser que se situent les profils, la Naga Epic Chroma en embarque pas moins de 8. Il suffit donc de sélectionner le profil sur lequel l’on souhaite intervenir. Razer offre les options classiques : éditer, sauvegarder (y compris sur la machine, le nombre devient donc illimité), importer, exporter et surtout associer à un programme. Cela permet de lancer le profil en même temps qu’une application, notamment un jeu. C’est aussi ici que se joue les assignations sur les touches. Razer fait les choses aussi bien que les autres, nous avons donc toutes les possibilités d’affectation : macros, raccourcis multimédias, fonctions clavier, fonctions souris, DPI, lancement de programmes etc. C’est très complet et Razer a prévu toutes les situations.

Dans Performance se gèrera les questions relatives au capteur. Il est possible de régler les axes X et Y indépendamment. Sur Configurer les niveaux de sensibilité (la traduction du soft est quasi complète), la Naga pourra recevoir manuellement le nombre de niveau (de 2 à 5) et donc être paramétrée au niveau des DPI par pas de 100. A noter que les axes X et Y sont liés et donc invisibles si l’on n’active pas l’option, c’est nettement plus simple et facilite la prise en main. C’est à cet endroit que se cale le polling rate de la souris : 1000 Hz.

Du côté d’Eclairage, il est aisé de deviner ce qu’il est offert de faire. Souris oblige, les comportements lumineux sont plus limités qu’avec un clavier. Nous avons donc : Cycle de couleur (dont on ne déterminera pas les couleurs, la rotation est automatique), Statique et Désactivé, sur les deux diodes. L’une pour la molette, l’autre pour le pavé numérique du pouce. On peut aussi moduler l’intensité du dit rétroéclairage.

Enfin sur Alimentation, l’utilisateur paramétrera le moment (en minutes) de la mise en veille et celui du début du clignotement de la souris lorsque la batterie s’affaiblit : de 25% à 5% au minimum.

En revenant sur les liens supérieurs, nous avons un Macros dont l’utilité est toute trouvée. Il permet d’enregistrer ses séquences de saisies. L’avantage de Synapse est sympathique : les macros que vous aurez paramétrées auparavant sont, avec la synchronisation du compte, de suite, disponibles. *

Extension permet d’activer l’extension spécifique à la Naga, mais aussi d’activer une hotkey pour ouvrir en jeu l’enregistreur de macros.

Le dernier lien Stat n’est autre qu’un suivi de votre utilisation de la souris. Nous retrouvons des compteurs du nombre de clics par exemple, en fonction de tel ou tel jeu. Un aspect totalement inutile mais, de fait, complétement indispensable et fondamentalement marrant. On se surprend facilement à aller jeter un œil dans le Stat, histoire de savoir.

Comme nous le disions, Synapse a vraiment bien évolué et reste parfaitement stable. Il n’y a rien à lui reprocher, d’autant plus que Razer a même fait l’effort de proposer une traduction quasi-complète, il ne reste aucune trace d’anglicisme. Une bien bonne chose car cela facilite nettement la prise en main.







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Marque : Razer