Ecouteurs Ozone Tri-FX, page 2

La finition du Tri-FX est exemplaire, en plus de mettre en avant un look franchement plaisant. La seul petite faute de goût, mais qui n’engagera que nous, est le marquage sur le manchon. Pour le reste, c’est un beau produit. Un intra, c’est avant tout deux écouteurs identiques. Le Tri-FX opte pour un corps en métal, nous l’avons dit. Il est rouge anodisé, accompagné d’une bague grise sur l’avant. Celle-ci précède le canal auriculaire qui se pare d’un embout silicone noir. Sur l’arrière du corps, nous retrouvons la bague du manchon en caoutchouc noir. La platine est une platine métallique, à pans coupés type écrou avec cerclage rouge. Elle reçoit un perçage au centre. Elle vient se visser directement dans le corps de l’écouteur. Le Tri-FX est livré donc avec deux autres platines : une série noire et une série grise. Un câble plat arrive sur le manchon de caoutchouc noir, marqué R et L de manière à identifier le sens de port. Il est bicolore, face rouge, face blanche. Une télécommande-micro de plastique noir recouverte de soft touch. Le connecteur jack 3,5 mm est à l’équerre et porte un marquage au nom de la marque.



D’un point de vue technique, le Tri-FX opte pour des HP de 9 mm. Il couvre un spectre courant de 10 à 20000 Hz, sur une impédance de 16 Ohms. La sensibilité atteint 95 dB. Concernant le spectre, les trois séries de platines permettent normalement d’obtenir trois restitutions différentes : Ultra-bass Booster, Pure Mids Audio et High Pitch Enhancer. La télécommande-micro dispose du Push-To-Talk. Il ne nous reste qu’à aborder la question du son.