Il faut le dire, le DAC a un design complètement unique. Sous forme de « galet » avec un revêtement supérieur en aluminium anodisé teinté « bleu nuit » marqué du logo du constructeur, clairement ça a de la gueule. À cela on ajoute à l’avant une plaque en aluminium brossé qui accueille le potentiomètre bleu chromé, on ne peut pas dire que le soin apporté à l’esthétisme soit secondaire ici. C’est clairement beau, même si ce n’est pas du tout un argument technique. Mais on avait envie de le dire. En revanche, par rapport au ZEN DAC V2 tout court, aucune sortie casque à l’avant. À l’arrière, on retrouve toutes les entrées/sorties du DAC. Elles sont très peu nombreuses. De gauche à droite, on a la sortie symétrique en 4,4mm, un bouton poussoir pour déterminer si on veut que le DAC fonctionne en volume variable ou fixe, une sortie RCA, l’entrée USB 3.0 et l’entrée du bloc d’alimentation. Pas de SPDIF, Toslink, Bluetooth… les sorties sont donc purement analogiques.
Le potentiomètre placé à l’avant, si le DAC est réglé en mode « variable », il permettra de régler le volume du son. S’il est en mode « fixe », alors il ne sert à rien, si ce n’est à faire joli (et il le fait bien, il faut le dire). En effet, il n’y a aucun moyen de mettre le DAC hors tension. Autrement, il possède un petit rétroéclairage qui intègre un code couleur pour indiquer le format audio et le taux d’échantillonnage du fichier audio en cours de lecture :