Test Roccat Vulcan II Max : t’as de beaux yeux, tu sais…, page 2

Le clavier

Le Roccat Vulcan II Max n’est pas fourni avec grand-chose dans sa boite. En effet, on ne retrouvera que le repose-poignet en silicone et un guide de démarrage rapide, les switchs n’était pas hot-swapp et le double-câble USB pas détachable.

Au format plein, le clavier est disponible en deux coloris : noir ou bien, comme pour notre version de test, blanc. Un design très singulier que l’on reconnait à mille lieux. Il se compose d’une plaque supérieure en aluminium et de switchs largement exposés, avec des keycaps minimalistes avec seulement la partie supérieure. On remarque qu’au-dessus du pavé numérique, on retrouve trois boutons multimédia et une molette cliquable pour régler le volume ou le couper/réactiver à la volée.

À l’arrière, rien de spécial, si ce n’est le départ du très épais câble USB. Ce dernier se termine en deux fiches USB-A, nécessaires pour à la fois alimenter le clavier et toutes ses LED et synchroniser le clavier à l’ordinateur. Pas très esthétique et on regrette l’absence d’USB pass-through. Sous le clavier, de larges bandes caoutchouteuses pour l’immobiliser sur la surface du bureau, accompagnées de patins rétractables pour proposer deux niveaux supplémentaires d’inclinaison.

Comme vous l’aurez remarqué, le rétroéclairage RGB est un peu la marque de fabrique du clavier. Les switchs sont entièrement exposés et disposent d’un housing transparent, mais ce n’est pas tout. Vers l’avant du clavier, on retrouve énormément de leds supplémentaires dont la lumière se diffuse largement à travers le motif strié du repose-poignet semi-translucide.

Les switchs sont optiques. Nommés Roccat Titan, ils sont déclinés en deux versions : marron (tactile léger) ou bien comme pour notre version de test : rouge (linéaire léger). Tous deux ont une résistance de 45G, une course totale de 3,6 mm et un point d’actuation situé à 1,4mm pour la version red et 1,8 mm pour le brown. Aucune pré-lubrification à observer au niveau des switchs et il en est de même pour les stabilisateurs.

Enfin, on remarque que certains switchs ont deux LED. Ceux concernés sont toute la rangée F1 à F12 ainsi que les touches directionnelles du haut. Ces touches-là ont une fonction secondaire attribuée avec la touche Function et disposent donc d’une seconde LED à couleur fixe pour éclairer la légende secondaire. Des fonctions multimédias, des touches macros, muter son microphone, changer de profil utilisateur à la volée… Il ya