Test NZXT Lift 2 Ergo : Pas chère DU TOUT, page 2

La souris

La Lift 2 n’est tout simplement livrée avec aucun accessoire. Pas de patins de rechange ou même un simple sticker… NZXT fait au plus simple et au moins couteux. Alors que la Lift première du nom était pourvue de couleurs et d’un rétroéclairage RGB, la Lift 2 est entièrement unicolore. Pour les notes de couleur, il faut se retourner du côté de la molette qui est recouverte d’une texture caoutchouteuse grise, avec des reliefs pour faciliter le grip avec l’index, ou encore le départ du câble USB de type paracord, donc souple.

La Version Ergo de cette Lift 2 de NZXT mesure 126.6 x 67.1 x 38.3 mm. Relativement longue donc, elle n’est pas spécialement très large ni haute. Sur le côté gauche, on retrouve deux boutons latéraux et un plastique texturé pour améliorer l’adhérence, sans aller vers de la matière caoutchouteuse que l’on sait facilement dégradable avec le temps. À droite, rien de spécial, si ce n’est à nouveau des micros reliefs.

La souris bénéficie d’une assez large molette et relativement proéminente. Elle sépare les deux boutons principaux, eux-mêmes désolidarisés du reste de la coque, qui abritent des switchs optiques annonçant une durée de vie de 100 millions de clics. Derrière la molette, on retrouve un bouton unique dédié par défaut au basculement d’un niveau de DPI à un autre. En revanche, aucune diode associée à ce bouton. Sur le haut de la coque, on distingue en légère surbrillance le logo de la marque.

Sous la souris, on constate l’architecture croisée de la base, rappelant les Pulsar ou autres Lamzu. On y voit également deux patins principaux et un circulaire qui entoure le capteur optique, un PixArt PMW 3395 qui annonce un niveau de DPI max à 26 000 et un tracking de 650 IPS.