Casque X83051 : Medion se prend pour eRazer ?

Notre Boss est allé passer un peu de temps à la GA, Grosse LAN s’il en est. C’est à cette occasion, qu’il a eu le temps de découvrir des petits stands bien sympathiques. Il est vrai que, sur les gros événements, les marques font des efforts de communication. Cela nous a donc permis de découvrir de nouvelles marques. Notamment Medion, qui a décidé d’intégrer le marché du jeu, du gamer, du gars exigeant avec son matos. Car comme chacun le sait, le gamer ne peut et ne veut pas tolérer la moindre imprécision, il en va de sa réputation. Medion nous propose donc une gamme presque complète, mais aujourd’hui, nous n’aborderons que la question douloureuse du Son. Vous le savez maintenant, à la Ferme, nous sommes un peu des maniaques du Son, mais surtout de sa qualité. La question épineuse de l’affaire est donc, alors Medion chez les grands ou pas ??



Bon, vous le comprendrez aisément, parler de Medion n’est pas facile, facile. En effet, nous ne passerons pas sous silence le fait que Medion est quand même un peu perçu comme une marque un peu low-cost, à l’image des magasins bien connus où l’on peut trouver ces produits. Entre parenthèse, il est net que ce choix a, tout de même, des conséquences sur l’image de la marque, pour autant, et par expérience, les produits Medion méritent bien souvent le détour. D’ailleurs, à la Ferme, nous sommes équipés de certains produits qui donnent entière satisfaction, tant en support qu’en qualité, GPS entre autres. Une fois, cet aspect précisé, nous pouvons passer au casque Erazer X83051.

Il est certain que le packaging Medion ne permettre aux plus passionnés d’entre nous de se pâmer d’envie. Pour être très clair, plus moche, tu meurs. En effet, entre le gris ciment et le blanc, lait de ciment, de la boîte en carton, on a nettement vu mieux. De fait, ce qu’il vous faudra regarder c’est la photo en surimpression du casque proposée sur la boîte. Il n’y a peut-être qu’elle qui vous renseignera et surtout sera susceptible de vous attirer l’œil. Au dos, de façon très classique, nous trouvons quelques rappels techniques, en plus des encarts sur la face avant. Ceux-ci, par contre, ne renseigneront que les adeptes de la langue de Goethe, parce que l’allemand, en tous les cas, à la Ferme, à l’exception de Vanseb, reste une incompréhension permanente.