EN DIRECT en ligne connexion / inscription
Connexion

Surnom/Pseudo
Mot de Passe :

[ Vous avez perdu votre mot de pass ? | Devenir membre ]

×

M8600, Aivia pas mal du tout, page 2

Article
Rédigé par
Publié le 24 Août 2011
Page: 2/5



A la prise en main, deux sentiments s’entrechoquent dans notre petit cerveau de 170 de QI…Bien sûr, certains esprits chagrins commenceront par affirmer que le QI, aujourd’hui, n’est plus reconnu comme tel. Comment cela, mettre en avant ses facultés paraît un tant soit peu mégalomaniaque ? Hum, peut-être un peu. En tous les cas, cela ne retire en rien l’entrechoquement des deux sentiments. Le premier, très simple, est, en résumé : « Waouh, elle est belle », ce qui, les goûts et les couleurs restant dans la nature, est totalement subjectif. Le deuxième consiste en un regret, elle est belle, bien finie, mais le choix des matières n’est pas en concordance avec les codes de la mode. Et indéniablement, elle fait un peu cheap avec tout son plastique dur. Point de soft touche des familles, ni de pavé antidérapant. Elle donne un peu l’impression, malgré son look aguicheur, de mettre les mains sur une pauvre souris des années 80. Sinon la M8600 est toute de noire revêtue, mais en dur, que le plastique soit lisse ou nervuré ! De plus, c’est une souris massive, enfin plus exactement longue comme un jour sans sexe pain.







La coque présente une arête centrée tout du long de la souris. Celle-ci descend jusqu’à l’arrière de la coque, ce qui rend cette M8600 particulièrement angulaire. En remontant, à gauche, nous trouvons un rappel de la série « Aivia » en lettres grises, sans épaisseur, ni retrait de matière. Les deux clics sont identifiables facilement puisqu’un trait de séparation les isole de la coque arrière. Entre ceux-ci, qui sont biseautés sur l’avant soit dit en passant, une bande de pastique translucide reçoit les leds d’indication de niveaux de DPI, ainsi que, sis de part et d’autre, les deux boutons qui y sont dédiés. Une molette crantée et quadri-directionnelle, au profil pneu sport, achève la partie centrale. Sur les deux côtés, la description sera rapide puisqu’ils sont symétriques et portent tous deux des boutons, deux. Les côtés font appel à un plastique nervuré dur, qui ne laisse pas de souvenirs impérissables. Les deux évidements sont identiques, et sont le fait surtout d’une partie angulaire qui vient se positionner en dessous des doigts. Celle-ci fait office de plateforme à doigt. Sur l’avant, en dessous des clics qui, finalement, ne descendent pas sur le tapis, nous trouvons une trappe qui s’escamote. Elle cache le connecteur qui proviendra de la machine si décision est prise de la faire fonctionner en mode filaire. En dessous, quatre patins assurent la partie glisse, deux grands situés sur l’avant et sur l’arrière, deux petits, à droite et à gauche ou à gauche ou à droite, en fonction du sens dans lequel vous regardez la souris ! Un long autocollant vous rappelle à qui vous avez affaire. A droite de celui-ci, en la regardant par l’arrière, un bouton « Open » assure l’éjection de la batterie, à gauche, un autre « On-off » permet d’éteindre la souris, et enfin juste au dessus, un bouton d’appariement la connexion au dock. Deux petits platines plaquées or (cuivre ?) gèrent le contact avec le dock pour le rechargement de la souris. Puis, il y a le capteur. Nous ne trouvons pas de système de poids, mais vu la prise en main, ce n’est pas nécessaire, la M8600 est assez lourde. Le dock quant à lui est plutôt rectangulaire, il porte un emplacement à la forme de la batterie, mais aussi les deux autres platines. Deux protubérances retiendront la souris, qui porte les mêmes en mode femelle. Nous découvrons en bas un bouton rectangulaire « Connect » ; le pied est orné d’un Gigabyte en surépaisseur. L’arrière du dock, où se situe l’emplacement de recharge de la batterie, héberge aussi la connexion mini USB qui permettre de le relier à la machine. Sous le dock, quatre petits patins circulaires empêcheront le dérapage intempestif.



Au niveau de la technique, vous le savez, maintenant, il s’agit d’une souris sans fil, qui peut aussi fonctionner en mode filaire. Elle est équipée de deux batteries .Le capteur laser est un twin-eye de 6500 DPI, soit en gros, un truc de malade. Cela dit, il s’agit d’une petite feinte puisque, physiquement, il reste question de 5600 DPI, il doit y avoir une extrapolation là dessous. . Il encaisse 50 G, et une accélération de 150 inches par seconde, à l’américaine, quoi ! Encore une fois, bien plus qu’une utilisation normale ne nécessite véritablement. Pour enregistrer profils et macros, une petite puce de 32 Ko prend place à bord. Les dimensions de la souris confirment bien ce côté long, puisqu’elle est mesuré à 135 X 73 X 43 mm, pour un poids de 153 grammes avec batterie, 98 sans. Qui dit macro, dit soft.

Partagez :
Marque : VIA
Tags :