Notre confrère GinjFo fait un peu dans le gros dédé en ce moment. Dernier test en date, le Seagate FreeAgent GoFlex Ultra Portable Drive (...), dans sa version 1.5To. Certes, la capacité n'est pas énorme, mais quand on sait que nous sommes face à du 2.5", ça fait mal.
Nous avons étudié il y a quelques semaines, le FreeAgent GoFlex Desk et ses 3 To de capacité, un record actuellement sur le marché. Dans un format plus compact, Seagate propose également du 1,5 To en 2,5 pouces, une première ici aussi, puisqu’il n’existe pas au détail un tel disque dur pour ordinateur portable. Le FreeAgent GoFlex Ultra-Portable Drive, c’est son nom, se vante donc d’être la solution ultime dans un tel format.
Avec une telle capacité, l’interface de connexion proposée est du SuperSpeed USB afin de ne pas brider les débits et minimiser les temps de transfert.
Mais comment se présente le FreeAgent GoFlex Ultra Portable Drive ? Est-il rapide, silencieux et facile à manipuler ? Que cache-t-il dans son boitier finition noir brillant ? L’USB 3.0 est-il vraiment efficace ?
Bref beaucoup de questions auxquelles nous allons répondre.
Nous avons étudié il y a quelques semaines, le FreeAgent GoFlex Desk et ses 3 To de capacité, un record actuellement sur le marché. Dans un format plus compact, Seagate propose également du 1,5 To en 2,5 pouces, une première ici aussi, puisqu’il n’existe pas au détail un tel disque dur pour ordinateur portable. Le FreeAgent GoFlex Ultra-Portable Drive, c’est son nom, se vante donc d’être la solution ultime dans un tel format.
Avec une telle capacité, l’interface de connexion proposée est du SuperSpeed USB afin de ne pas brider les débits et minimiser les temps de transfert.
Mais comment se présente le FreeAgent GoFlex Ultra Portable Drive ? Est-il rapide, silencieux et facile à manipuler ? Que cache-t-il dans son boitier finition noir brillant ? L’USB 3.0 est-il vraiment efficace ?
Bref beaucoup de questions auxquelles nous allons répondre.
source : GinjFo
Marque : Seagate
Partagez :
Posté le 20 Mars 2011 à 10:00 par Sébastien Vandeborre