Jeudi dernier, nous avons pu prendre rapidement en main le Pandora, le prochain boitier de BitFénix. L'occasion pour nous de découvrir en détail le châssis et le petit écran en façade.
Et si nous faisons un focus sur le châssis, c'est tout simplement parce que nous avons oublié de prendre des photos du boitier avant de le démonter... Mais sachez que les portes se clipsent sur les côtés, un peu comme chez Lian Li, et que leur finition est très propre.
Mais découvrons donc le châssis, qui change radicalement des autres modèles de la marque, mais aussi de la concurrence, notamment sur le stockage.
Au format mATX, avec cinq équerres PCI, le boitier se veut tout en hauteur. On retrouve l'emplacement dans le bas pour l'alimentation, avec un petit cache devant et des passages pour les câbles. C'est ici que se trouve le premier emplacement 2.5", sur le côté de ce cache ; deux picots en bas et deux vis en haut, et zoup !
Continuons dans le stockage, avec un premier emplacement 3.5" tout en haut, devant le ventilateur de 120mm placé en extraction. On trouve ensuite un autre emplacement 3.5" derrière le plateau carte mère, ou plutôt derrière ce qui aurait pu être la cage HDD, ainsi qu'un autre 3.5" / 2.5" dans le bas du boitier, sous le cache de l'alimentation.
Il y en a donc un peu partout, et il faudra peut-être veiller à tout installer avant de faire passer les câbles, notamment pour celui de derrière.
Pour le reste, on trouve de jolis pieds type Hi-Fi sous le boitier, ainsi qu'un ventilateur de 120mm en façade, avec un filtre magnétique et un emplacement de 120mm supplémentaire.
C'est original, à voir si bien conçu, mais c'est surtout bien joli à voir. En revanche, à 100€ le boitier, ça pique un peu.
Mais surtout, pour 20€ de plus, on peut avoir la version ultimate of the dead, qui comprend un petit écran en façade. 320 x 240 en 16M de couleurs, voilà de quoi s'amuser. En revanche, et c'est bien dommage, les angles de vision sont très limités, et sont surtout meilleurs vers le bas que vers le haut. Néanmoins, BitFénix laisse le logiciel de gestion en open source, et c'est toujours ça de pris.
On installe le soft, et il suffit d'ensuite d'un drag'n'drop d'une image sur le raccourci pour que tout se fasse tout seul. Plus simple, impossible...
Ne reste qu'à respecter le ratio avant l'import.
Et si nous faisons un focus sur le châssis, c'est tout simplement parce que nous avons oublié de prendre des photos du boitier avant de le démonter... Mais sachez que les portes se clipsent sur les côtés, un peu comme chez Lian Li, et que leur finition est très propre.
Mais découvrons donc le châssis, qui change radicalement des autres modèles de la marque, mais aussi de la concurrence, notamment sur le stockage.
Au format mATX, avec cinq équerres PCI, le boitier se veut tout en hauteur. On retrouve l'emplacement dans le bas pour l'alimentation, avec un petit cache devant et des passages pour les câbles. C'est ici que se trouve le premier emplacement 2.5", sur le côté de ce cache ; deux picots en bas et deux vis en haut, et zoup !
Continuons dans le stockage, avec un premier emplacement 3.5" tout en haut, devant le ventilateur de 120mm placé en extraction. On trouve ensuite un autre emplacement 3.5" derrière le plateau carte mère, ou plutôt derrière ce qui aurait pu être la cage HDD, ainsi qu'un autre 3.5" / 2.5" dans le bas du boitier, sous le cache de l'alimentation.
Il y en a donc un peu partout, et il faudra peut-être veiller à tout installer avant de faire passer les câbles, notamment pour celui de derrière.
Pour le reste, on trouve de jolis pieds type Hi-Fi sous le boitier, ainsi qu'un ventilateur de 120mm en façade, avec un filtre magnétique et un emplacement de 120mm supplémentaire.
C'est original, à voir si bien conçu, mais c'est surtout bien joli à voir. En revanche, à 100€ le boitier, ça pique un peu.
Mais surtout, pour 20€ de plus, on peut avoir la version ultimate of the dead, qui comprend un petit écran en façade. 320 x 240 en 16M de couleurs, voilà de quoi s'amuser. En revanche, et c'est bien dommage, les angles de vision sont très limités, et sont surtout meilleurs vers le bas que vers le haut. Néanmoins, BitFénix laisse le logiciel de gestion en open source, et c'est toujours ça de pris.
On installe le soft, et il suffit d'ensuite d'un drag'n'drop d'une image sur le raccourci pour que tout se fasse tout seul. Plus simple, impossible...
Ne reste qu'à respecter le ratio avant l'import.
source : Cowcotland.com
Marque : BitFenix
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Posté le 27 October 2014 à 09:35 par Sébastien Vandeborre
