Deuxième carte mère ASRock, la toute récente Fatal1ty X99M Killer. Là encore, tout est dans la référence ! Du noir et du rouge pour la gamme Fatal1ty, une puce Killer pour le réseau, et du X99 dans un format mATX.
Une carte qui affiche de belles couleurs, même si le rouge semble un peu trop tirer vers le clair ; en revanche, il n'y a rien à redire pour le PCB, noir comme il faut.
Et une nouvelle fois, on attaque avec les radiateurs ! Un bel ensemble autour du socket 2011 avec un caloduc pour relier les deux radiateurs, plus un autre en bas de la carte. On notera que la mémoire est proche du socket, avec le radiateur qui l'entoure aussi. Pas de crainte à avoir, les loquets de verrouillage sont parfaitement accessibles.
Bonne nouvelle pour ceux qui sont en froid avec la partie réseau Killer, un port Ethernet géré par Intel est disponible ! Base 1000 bien entendu, avec WoL et tout ce qui va bien.
Haut de gamme oblige, la partie audio est travaillée avec du Purity Sound II, toujours en ALC1150 avec un DAC à 115dB en SNR et un amplificateur pour casque TI NE5532, le tout sur un PCB isolé.
La connectique se montre très complète, autant en externe qu'en interne. On trouve en effet un panneau IO qui comprend quatre ports USB 3.0, deux ports USB 2.0, un eSATA, nos deux Ethernet, le son, ainsi qu'un PS2. Marketing et technologie se mêlent habillement sur les ports USB 2.0, l'un deux servant de Fatal1ty Mouse Port.
Concrètement, un outil qui permet de gérer de manière logicielle ce qu'une souris entrée de gamme ne peut faire, comme un sniper mode par exemple.
Le Thunderbolt 2 est lui aussi présent, via un header sur le PCB.
Du côté du stockage, on retrouve un port M.2 câblé en PCI-E 4x, rien que ça, et compatible SATA 6Gbps. Il partage la même ligne que port SATA_2, tandis que le SATA_3 est lié au connecteur eSATA. On profitera donc d'un maximum de dix ports SATA, avec gestion RAID selon les ports via les outils Intel.
Un connecteur HDD Saver est présent à proximité des SATA. Une fois AHCI activé, il va permettre de débrancher à chaud un disque dur alimenter via ce connecteur en coupant proprement son alimentation avant, depuis un logiciel.
Pour les amateurs d'overclocking, on retrouve des boutons Power et Reset directement sur le PCB, ainsi qu'un double BIOS avec un sélecteur ; collé au premier port PCI-E 16x, il ne sera peut-être pas facilement manipulable selon les composants.
Un afficheur PostCode est présent sur le coin supérieur droit de la carte, avec rien pour en bloquer la lecture. En théorie.
Et les lignes PCI-E dans le lot ? Trois connecteurs 16x, les deux premiers en 3.0 et le dernier en 2.0. Après, tout dépendra du processeur retenu... On fera donc attention si on décide de brancher deux cartes plus un SSD en M.2, par exemple. En revanche, SLI et Crossfire sont bien au rendez-vous.
A 249€, cette carte n'a pas vraiment de concurrence, tant les modèles mATX en X99 sont rares. Et au final, c'est directement chez ASRock qu'il faut regarder pour trouver peut-être plus intéressant avec la X99M Extreme4. Au revoir le Killer, au revoir la partie Gaming, et bonjour le bleu, le tout pour 30€ de moins.
Une carte qui affiche de belles couleurs, même si le rouge semble un peu trop tirer vers le clair ; en revanche, il n'y a rien à redire pour le PCB, noir comme il faut.
Et une nouvelle fois, on attaque avec les radiateurs ! Un bel ensemble autour du socket 2011 avec un caloduc pour relier les deux radiateurs, plus un autre en bas de la carte. On notera que la mémoire est proche du socket, avec le radiateur qui l'entoure aussi. Pas de crainte à avoir, les loquets de verrouillage sont parfaitement accessibles.
Bonne nouvelle pour ceux qui sont en froid avec la partie réseau Killer, un port Ethernet géré par Intel est disponible ! Base 1000 bien entendu, avec WoL et tout ce qui va bien.
Haut de gamme oblige, la partie audio est travaillée avec du Purity Sound II, toujours en ALC1150 avec un DAC à 115dB en SNR et un amplificateur pour casque TI NE5532, le tout sur un PCB isolé.
La connectique se montre très complète, autant en externe qu'en interne. On trouve en effet un panneau IO qui comprend quatre ports USB 3.0, deux ports USB 2.0, un eSATA, nos deux Ethernet, le son, ainsi qu'un PS2. Marketing et technologie se mêlent habillement sur les ports USB 2.0, l'un deux servant de Fatal1ty Mouse Port.
Concrètement, un outil qui permet de gérer de manière logicielle ce qu'une souris entrée de gamme ne peut faire, comme un sniper mode par exemple.
Le Thunderbolt 2 est lui aussi présent, via un header sur le PCB.
Du côté du stockage, on retrouve un port M.2 câblé en PCI-E 4x, rien que ça, et compatible SATA 6Gbps. Il partage la même ligne que port SATA_2, tandis que le SATA_3 est lié au connecteur eSATA. On profitera donc d'un maximum de dix ports SATA, avec gestion RAID selon les ports via les outils Intel.
Un connecteur HDD Saver est présent à proximité des SATA. Une fois AHCI activé, il va permettre de débrancher à chaud un disque dur alimenter via ce connecteur en coupant proprement son alimentation avant, depuis un logiciel.
Pour les amateurs d'overclocking, on retrouve des boutons Power et Reset directement sur le PCB, ainsi qu'un double BIOS avec un sélecteur ; collé au premier port PCI-E 16x, il ne sera peut-être pas facilement manipulable selon les composants.
Un afficheur PostCode est présent sur le coin supérieur droit de la carte, avec rien pour en bloquer la lecture. En théorie.
Et les lignes PCI-E dans le lot ? Trois connecteurs 16x, les deux premiers en 3.0 et le dernier en 2.0. Après, tout dépendra du processeur retenu... On fera donc attention si on décide de brancher deux cartes plus un SSD en M.2, par exemple. En revanche, SLI et Crossfire sont bien au rendez-vous.
A 249€, cette carte n'a pas vraiment de concurrence, tant les modèles mATX en X99 sont rares. Et au final, c'est directement chez ASRock qu'il faut regarder pour trouver peut-être plus intéressant avec la X99M Extreme4. Au revoir le Killer, au revoir la partie Gaming, et bonjour le bleu, le tout pour 30€ de moins.
source : Cowcotland.com
Marque : ASRock
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Posté le 11 Novembre 2014 à 14:00 par Sébastien Vandeborre
