Test Casque Bluetooth Arctic P311, page 2

Le casque, à la prise en main, fait un peu cheap. Entre la finesse du bandeau de nuque et le skaï des oreillettes, le P311 ne ressemble pas, et de loin, au dernier casque testé. D’un autre côté, le dernier test était celui du HE-500 à 799 $ ; et à ce moment précis, nous sommes en train de parler d’un casque à 23,90€. Cela peut vous laisser entrevoir le grand écart permanent dans lequel nous nous trouvons. En tous les cas, le plastique aspect laqué des oreillettes rehausse tout de même un peu l’ensemble. Et finalement, le sentiment est mitigé mais pas négatif.

L’arceau reste en plastique granuleux et ne comporte pas de coussin puisqu’il viendra au dessus de la nuque. Il permet le passage du fil reliant les deux drivers. A l’endroit de la coupure, il permet à la tige de l’oreillette de pivoter à la fois sur elle-même et vers l’intérieur de l’arceau. Les blocages s’effectuent au moyen de simples picots plastiques. Avec l’usure, il est fort probable que les blocages disparaissent. La tige effectue une virgule qui viendra se positionner au dessus de l’oreille. Un cercle de plastique plus gris, avec des onglets vient orner le centre de l’oreillette. Ce cercle est inactif à gauche, mais fonctionnel à droite. Il permettra de régler volume et de sauter/revenir sur une piste. Sur ce même côté, se trouve le connecteur mini-USB de recharge du casque. En effet, il n’y a pas de batterie amovible, elle est à l’intérieur du casque sans qu’il n’y ait possibilité de la changer. L’intérieur des oreillettes est donc en skaï et mousse, la mousse est assez peu épaisse. Une toile acoustique protège le HP.



Au niveau de la technique, nous avons donc un casque qui se connecte en Bluetooth. Le P311 fait appel à des HP de 30 mm et pèse seulement 69 grammes. C’est un casque très léger et peu encombrant. Le spectre couvert court de 18 à 22000 Hz. Sa faible impédance le rend facile à driver avec n’importe quelle source nomade.