Test boitier NZXT Phantom 820, page 4

Le montage, maintenant.



Comme presque toujours, l'alimentation se pose dans le bas, se fixe avec 4 vis et c'est tout. Des rondelles de caoutchouc sont présentes pour que l'alimentation ne vibre pas sur le châssis.

Au niveau de la carte mère, pas de problème non plus, même avec le Z600. La place disponible est simplement énorme, surtout au-dessus du ventirad CPU avec 70 mm comme nous l'avons déjà dit. Plusieurs passages sont en plus présents pour la norme ATX comme E-ATX, y compris dans le haut, ou une rallonge 8 est présente de base.



Dans un premier temps, pour installer les HDD, il faut retirer les paniers, et par derrière, comme dans tous les autres boitiers NZXT dernièrement sortis. Ensuite, on place les HDD dans les paniers, sans vis et sans outil, sur des tiges métalliques qui sont reliées à des rondelles en caoutchouc. Pour les SSD, il faudra se séparer des tiges et exploiter 4 vis. Simple and Easy. Par contre, si les paniers sont satisfaisants avec les HDD, nous les trouvons un peu trop souple avec les SSD.

Du côté du lecteur optique, c'est aussi rapide. d'abord on ôte le cache baie depuis l'extérieur, on glisse le lecteur dans sa baie et on remet le cache.



Pour la carte graphique, vu qu'il y a beaucoup de place, ce n'est pas compliqué non plus. On a le droit à des efficaces vis à main pour la fixation. Coté place, comptez 370 mm en longueur, et 345 mm avec un ventilateur à l'arrière de la cage HDD.



Pour le câble management, NZXT nous sort un très bon châssis, avec des passages bien placés et en supplément des caches qui tiennent très très bien. Sur ce point, rien à dire ou redire d'ailleurs, NZXT a bien fait les choses, et encore plus avec tous les dispositifs pour les colliers. Monter une machine dans ce type de châssis est un plaisir.

Une fois allumé, le Phantom est encore plus beau et on peut le faire comme on l'aime.