Ecouteurs intra-auriculaires Ozone Oxygen, page 2

Celui-ci est assez sympathique au niveau du design comme de la qualité de la finition. A y regarder de beaucoup plus près, nous trouvons bien deux petites traces de sortie de moule, mais sorti de là, rien à dire. Les couleurs sont des classiques Ozone, noir et rouge.

La description sera rapide puisqu’il s’agit d’un intra, il n’y a donc que les oreillettes à décrire et c’est tout. Pour le coup, elles sont identiques. Elles sont composées de plusieurs qualités de plastique. A l’endroit de l’arrivée du câble, un manchon de caoutchouc noir l’accueille surmonté d’une rondelle métallique. Ensuite, nous trouvons le corps à proprement parler de l’oreillette en forme de goutte d’eau, un liseré rouge réalise le tour sur le haut, et un encart circulaire troué laissera la membrane respirer. Ensuite, la coupelle de la membrane joue l’alternance rouge/noir aussi, sur le pourtour encore une fois, une rondelle métallique. La coupelle est fermée par une partie de plastique rouge qui, sur l’arrière, propose une sorte de canon à son à insérer directement dans le fond du pavillon. Le câble est rond et rouge, nous trouvons une télécommande-micro greffée sur celui-ci. Un bouton rectangulaire orné d’un téléphone permettra de décrocher. Le 3,5 mm est manchonné d’alu anodisé badgé Ozone.



Au niveau de la technique, nous sommes donc face à un casque intra-auriculaire, qui rentre donc profondément dans les oreilles, cela vous incontestablement nous changer. Le spectre couvert court de 20 à 20000 Hz, soit peu ou prou ce que peut proposer un supra ou un circum. L'impédance est de 24 Ohms et la sensibilité s'établit à 116 dB sur +/- 4 dB. Le tout transite par des HP de 11 mm. Enfin le câble mesure 1,2 m et l'ensemble ne dépasse pas les 15 grammes (c'est franchement le gros point fort des intra, c'est très léger).