Clavier Corsair Raptor K50, page 2

Le K50 dispose d’une très bonne finition pour un clavier axé entrée de gamme. En effet, afin de respecter la filiation, il se dote d’une bande d’alu anodisée grise. En effet, en termes de matières, nous avons de l’alu mais aussi du plastique granuleux. Si, là encore, la finition est bonne, évidemment après l’alu, il souffre de la comparaison. Le look est bon, d’autant que le pavé des macros est intégré parfaitement à la ligne.

Le K50 est un clavier complet, même plus que complet avec les macros. Il est équipé de touches profil haut et il est disponible en layout AZERTY Iso. Comme nous le disions ci-dessus, le pavé des macros est parfaitement intégré puisqu’il est sur la même plaque de plastique noir granuleux que le reste des touches. Le K95 ne disposait pas de cette petite attention. Comme avec le K95, le pavé des macros dispose de 18 touches, mais elles ne sont pas placées en bloc séparé physiquement. Le lettrage des touches est situé le bas des keycaps. Il est identique à la série des Vengeance. Nous retrouvons aussi le revêtement rubber sur celles-ci. Il est doux au toucher et légèrement adhérant. Afin d’apporter une touche de couleur, de frivolité, les ZSQD et les flèches sont de couleur grise. La barre Espace quant à elle se pare d’un petit liseré.

Sur le bandeau supérieur en alu, Corsair a installé les touches rondes de gestion des profils, d’enregistrement des macros à la volée sur la gauche. S’y trouve aussi bien sûr la touche de blocage Windows. Au centre, le logo Corsair juxtapose le départ du gros câble gainé. Au-dessus du pavé numérique, nous avons les mêmes touches multimédias : stop, morceau précédent, lecture/pause, morceau suivant. Nous retrouvons avec plaisir la molette métallique de gestion du volume accompagnée d’un bouton pour le couper. Enfin, de manière classique, trois diodes blanches d’information, avec le bouton de réglage de l’intensité du rétroéclairage finalisent le bandeau. Le repose-poignet est recouvert de soft touch. Par contre, il se fixe à l’aide de pattes, celles que nous aimons moins car plus fragiles que le système à vis (mais plus cher). Il a un léger décrochage sur le côté gauche. En dessous, trois patins de caoutchouc assurent la stabilité et l’anti-dérapage.

Le clavier, quant à lui, bénéficie de quatre patins mais aussi, en plus, de pattes de surélévation à l’avant et à l’arrière. Le câble gainé se termine par deux USB manchonné de rouge bordeaux. Décidément, Corsair, entre le bleu et le rouge, a des problèmes sur les nuances de couleurs…Mais cela est un avis totalement subjectif et personnel.



Au niveau de la technique, le K50 est équipé en touches membranes, tout ce qu’il y a de plus classique. Il dispose d’un pavé de 18 macros, sur 3 profils soit 54 possibilités. Le tout s’hébergera sur une puce mémoire de 36 Ko. Pas d’USB plaqué or pour la connexion. Les dimensions du clavier sont les suivantes : 502 x 180 x 27 (sur le bandeau), vous pouvez rajouter 60 mm de plus avec le repose-poignet. Il est pesé à 1760 grammes. Passons par la case soft.