Souris Gamdias Apollo, page 2

La souris, prise en main, laisse une bonne impression. Celle-ci est confirmée par une bonne finition. Seule la jonction de demi-coques sur l’arrière du corps principal ternit un peu l’impression. En effet, il eut été plus judicieux, à notre avis, de ne pas avoir de demi-coques dans la hauteur, plutôt comme toujours, dans la longueur. Mais cela reste un point de détail. La partie additionnelle de la souris est bien traitée, recouverte en soft touch. Les matières employées sur la souris sont de bonne qualité, petite mention positive pour l’emploi d’un plastique gravé de carré sur la face avant. Cela renforce l’impression de travail soigné.

La souris est donc composée de deux parties. La souris de taille très contenue, elle n’est pas plus grande qu’un modèle prévue pour les portables. Vient ensuite une coque ajourée qui peut se clipper sur la souris afin de l’agrandir. Pour le coup, présentons dans un premier temps la souris. L’arrière de la coque est assez particulier. En effet, il ne tombe pas de manière traditionnelle, mais forme une sorte de double vague/encoche. En remontant vers les clics, nous retrouvons un triangle portant le logo de Gamdias. Les clics constituent quasiment l’essentiel de la coque. Ils sont de grande taille. Le gauche est marqué du logo de la souris, en effet, dans Apollo, le deuxième O est spécifique. La molette est insérée entre ceux-ci. Les parties latérales sont symétriques, elles poursuivent le creux de la vague sur la grande majorité du pourtour. Sur chacun des côtés, l’Apollo accueille un bouton triangulaire, aspect alu. La coque additionnelle vient donc se fixer sur la souris. Elle s’insère dans deux fentes et deux pattes de la coque se clipsent. Force est de constater que l’ensemble est bien solidaire et n’a pas de jeu, une fois en place. La coque est symétrique et très ajourée, les photos parleront bien plus que les mots. Sous le châssis, l’Apollo possède deux patins, fins mais qui longent l’arrière et l’avant de façon assez importante. Le câble est placé de manière centrée, il est évidemment tressé.



Au niveau de la technique, l’Apollo accueille un capteur optique de 3200 DPI, nous n’avons pas d’indication quant à son origine. Elle embarque une puce mémoire de 64 Ko. Le polling rate monte jusqu’à 1000 Hz. Les cinq touches sont programmables. Il nous faut passer par la case pilote, car petite ou grande, elle fait appel à un support logiciel.