Avec le
Macho Direct,
Thermalright repasse sous la barre des 45€ en apportant quelques modifications à son
Macho : perte du top noir, passage de six à cinq caloducs, et apparition du Direct Touch.
Un pari réussi ? Nous serions tentés de dire que oui, mais...
Tout d'abord, l'installation du ventilateur est une véritable plaie. Nous connaissons bien les griffes de la marque, assez pénibles, mais ici on franchit un nouveau cap avec des modèles plus courts qui sont donc encore moins pratiques. Néanmoins, cela permet aussi d'avoir un positionnement théoriquement idéal du ventilateur, qui arrive pile au niveau des caloducs sur sa partie supérieure.
Ensuite, la base en Direct Touch. Non pas que les performances en pâtissent, nous ne pourrions le dire, mais la finition nous ramène au début de cette technologie, avec un large espace entre chaque caloduc, mais aussi entre les caloducs et le base. Autant dire que le nettoyage de la pâte thermique demandera un peu de patience. Signalons une nouvelle fois que la base du modèle en vente est théoriquement différente, bien plus propre.
A part ces deux remarques, qui ternissent un peu le tableau, il n'y a rien à redire. Le ventilateur est toujours aussi silencieux même à plein régime, et les performances se situent à peine derrière celles du
Macho Rev. B.
A choisir, nous opterions quand même pour ce deuxième si le budget le permet, question de look avant tout.
Pour
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Contre
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Bonnes performances
Nuisances sonores contenues
Barre de fixation intégrée à la base
Jolie plage PWM
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Tarif ?
Une recette qui stagne ?
Fixation du ventilateur
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