Clavier Fnatic Gear Rush G1, page 3

L’installation n’est pas des plus simples. Cela dit, nous sommes certainement face à la première version du pilote du clavier. De fait, il faut installer un pilote qui semble être un générique, adapté à la version de Windows puis redémarrer, puis installer le pilote spécifique puis redémarrer une nouvelle fois. Ce n’est, il faut le reconnaître, plus très courant. Toutefois, une fois la procédure respectée, il n’y a pas de souci, le clavier est reconnu et le soft tout à fait fonctionnel. Ce dernier est très épuré. En effet, une seule et unique fenêtre s’ouvre, elle ressemble peu ou prou à la calculatrice par défaut de Windows, si ce n’est qu’il s’agit d’une représentation du clavier.

De fait, tous les profils sont insérés sur la partie supérieure de la fenêtre. Ils sont accompagné d’un bouton permettant le backup du clavier et d’un deuxième pour la restauration. Un bouton au nom de la marque Fnatic Gear permet d’accéder directement au site du fabricant. Pour travailler sur un profil, il suffit de le mettre en surbrillance orange. Pour le rester, le soft met à disposition 10 macros que l’utilisateur placera sur le clavier comme il le souhaite. Toutes les touches du clavier sont attribuables. Une fois que l’un des macros est affectée à la touche de son choix, un menu déroulant peut s’ouvrir et propose les options possibles. De fait, nous trouvons la liste suivante : copier, coller, couper, annuler, sélectionner, trouver, nouveau, imprimer, lancer, sauver et désactivé. Nous avons aussi en tout premier lieu : macro, qui, comme son nom l’indique, permettra de créer les macros dont l’utilisateur pourrait avoir besoin. L’enregistreur est, d’une part, de petite taille et, d’autre part, très concis. EN effet, nous y trouvons un bouton lançant l’enregistrement, une roue crantée pour quelques paramètres. Ces paramètres consistent exclusivement en un choix sur les répétitions : une fois, répétition tant que la touche est pressée et répétition tant que la touche n’est pas, de nouveau, pressée. Deux boutons, portant des dossiers, permettent d’importer et d’exporter les macros. Et c’est tout, mais au final, suffisant pour générer l’essentiel des macros.



Très simple, très sobre seront les maîtres mots de ce soft. En tous les cas, ce qui est absolument certain, c’est qu’il ne demandera aucun temps d’apprentissage avant de s’en sortir aisément.