Souris Fnatic Gear Flick, page 3

Là encore, Fnatic Gear nous propose un logiciel assez facile d’accès. L’esthétique même est plutôt sobre, comme avec le clavier d’ailleurs. Tout s’organise autour d’une fenêtre. Les profils sont placés sur le haut de la dite fenêtre. Trois profils sont mis à disposition, nous avons deux options : backup et restore. Situés juste au-dessous, quatre boutons permettront d’entrer plus avant dans les paramétrages.

Le premier, nommé Basic Settings, permet d’aller gérer la résolution du capteur. La Flick bénéficie de trois niveaux dont les axes X et Y sont réglables indépendants. Les DPI montent jusqu’à 5000 DPI par pas de 50. Nous y trouvons aussi la sensibilité du pointeur, du scroll de la molette avec la possibilité de scroller page par page. La Flick peut aussi se voir régler sur la vitesse du double-clic. C’est ici aussi que le paramétrage du polling rate se trame : de 125 Hz à 1000 Hz. Le deuxième onglet Button Assignments gère l’affectation des boutons de la souris. Chacun des boutons dispose d’un menu déroulant. Nous y trouvons des actions liés à la souris telles que, classiquement, clic droit-clic gauche…mais aussi des actions plus rares : double et triple clic et même clic continu. L’option appelée Fnatic Gear apporte un Push to Talk, mais aussi les cycles de DPI et de profils. Nous avons aussi les possibilités multimédias (ouverture du lecteur, morceau précédent, morceau suivant, stop, pause, mute, volume bas et volume haut), bureautique dite office (copier, coller, couper, imprimer, sélectionner…), les commandes Windows (poste de travail, navigateur, fermer…). Reste la dernière option qui consiste à tout simplement désactiver le bouton.

Le Color Settings est la partie qui permettra de jouer avec les jolies couleurs. Il n’y qu’une seule zone, la molette. La Flick dispose de plusieurs modes lumineux : battement, pulsation, fade in, fade out (tous deux sont des extinction/allumage particuliers) et custom. Nous avons la possibilité d’avoir un cycle de couleurs. L’intensité est paramétrable ainsi que les intervalles d’allumage. La couleur se règle grâce à une réglette type arc-en-ciel, et elle s’accompagne d’une éventuelle modification de la saturation. Le dernier bouton est celui de l’enregistrement des macros. Nous sommes face à un enregistreur facile. Il suffit de nommer la macro, de lancer la séquence de saisie et de cliquer sur Save. Elle intègre ensuite directement la bibliothèque. Il suffira, par la suite, de la récupérer sur l’onglet d’affectation des boutons. En revanche, les options dans l’enregistrement des macros sont inexistantes : pas de boucle, pas de modification dans les temps entre saisies. Ce soft est donc aisé et ne demande pas de temps d’apprentissage particulier. Simplicité et rapidité en somme.