Test Ecran Philips 349X7F, page 4

Pour le réglage de la hauteur, on peut le faire varier de 15cm juste en le soulevant, pas de bouton ou autre, le lock est automatique et se déloque à la moindre pression, mais ne bougera pas si on le touche par inadvertance. L’inclinaison, quant a elle, se fait de la même façon, on bouge et ça locke. On pourra ainsi incliner de -5° à +20°.

Le bouton pour l’OSD est assez simple d’accès, pas besoin de passer sa main à fond derrière ; la paume sur le bord de l’écran, l’index atteint très facilement ce bouton. Ce qui n’est pas le cas pour les branchements derrière, ce n’est pas un point trop important à moins que vous ne changiez de câble vidéo tous les jours, mais cela le devient pour les USB… On passe du temps à chercher la prise, sans compter qu’il faudra l’insérer dans le bon sens, ce qui n’est pas gagné… Le mieux étant de brancher des câbles femelles et de les laisser tomber sur le bureau.

L’utilisation est simple, un moniteur étant Plug and Play, il en devient facile de le brancher. Cependant, suivant le type de prises que vous voulez utiliser, vous ne pourrez pas exploiter l’écran dans toute sa splendeur. Aussi, je vous conseille de prendre le port HDMI 2.0 ou le DisplayPort 1.2 (avec la carte graphique qui va avec) pour profiter du Freesync 100Hz dans la définition max. (60Hz en HDMI 1.2, ou en 2560 x 1080 @95Hz). Pas la peine d’acheter les câbles, ceux fourni sont en HDMI 2.0 et DP 1.2.

Pour ce qui est de l’OSD, on clique au centre pour allumer l’écran et un appui long pour l’éteindre. On a aussi le choix avec les 4 directions :

• gauche : choix de la colorimétrie prédéfinie
• haut : multiview
• droite : option générale
• bas : bouton paramétrable

Là où ça devient compliqué, c’est qu’on ne valide pas en cliquant sur le centre… Mais en s’aidant des flèches. On valide l’option choisie par un déplacement vers la droite, tandis que le retour se fait avec un déplacement vers la gauche. On se déplace dans le menu avec le haut et le bas. C’est un peu déroutant au début.