Test souris Trust GXT 144 Rexx, page 2

Une fois prise en main, la Rexx met en avant un revêtement intégral en soft-touch. Ce dernier marque un peu le pas avec un toucher, certes doux, mais assez peu qualitatif. En regardant de plus près, la finition marque le pas. En effet, les ajustements ne sont pas toujours au top. Il y a quelques interstices imparfaits et quelque peu irréguliers. Il ne faut cependant pas oublier que la souris est vendue à un tarif particulièrement abordable : 45 euros.

La coque sort donc de l’ordinaire puisqu’elle ne propose pas de courbure. Elle reçoit cependant bien le logo GXT de la marque. Il est translucide et laisse passer le rétroéclairage. La partie latérale droite est assez plane, mais dispose de quelques encoches en partie basse. Elles permettent de placer les doigts. Les clics sont placés au-dessus des encoches précédemment citées, ils sont assez plats, légèrement bombés. Une fente les sépare et accueille la molette. Elle est très classique, assez carrée sur les bords. Elle porte une bande de caoutchouc crantée. Elle est aussi translucide. La partie droite porte un bouton sur l’arête haute. Dans l’évidement prévu pour le pouce, sur le haut, la Rexx reçoit deux boutons marqués d’une flèche translucide. L’arrondi sur le bas permettra de supporter la base du pouce. C’est sur l’avant de la souris que part le câble tressé, terminé par un USB non plaqué. La plaque châssis porte quatre patins et le capteur.

Sur le point technique, la Rexx est une souris verticale. Elle embarque un capteur optique de 10000 DPI maximum, mais dont nous ignorons la provenance. Il annonce 100 ips et une accélération de 20 G. A priori, il dispose de d’une échelle courant de 250 à 10000 DPI. Bien évidemment, le polling rate s’établit à 1000 Hz. Les six boutons sont programmables, les switches ne sont évidemment pas des Omron. Elle est annoncée à 98 grammes.