Test souris SteelSeries Prime Wireless : Un premier essai de souris sans-fil haut de gamme, page 2

Le design de la souris est très uni et arbore un plastique en ABS épais noir mat très agréable à l’œil. Un revêtement légèrement rugueux qui se dispense d’une structure perforée et qui, malgré la présence d’une batterie, ne fera pas dépasser les 80 grammes sur la balance pour cette souris. La coque est très solide, aucun craquellement audible ni de wobbling dans la molette.

La Prime Wireless adopte une ergonomique pour droitier et intègre deux discrets boutons latéraux. Les boutons principaux ne sont pas unifiés à la coque et abritent des switchs magnétiques-optiques maison, baptisés Prestige OM, qui affichent une durée de vie théorique de 100 millions de clics. Entre ces deux boutons légèrement tuilés, on retrouve une molette recouverte d’une matière caoutchouteuse avec des reliefs pour une meilleur adhérence qui intègre un rétroéclairage RGB, bien évidemment personnalisable. On se doute que pour atteindre les 100 heures théoriques d’autonomie, il faudra éteindre le rétroéclairage, même s’il se veut sobre et discret.

À l’avant de la souris, on retrouve le port USB-C dédié à la recharge et à la synchronisation du périphérique. Le câble fourni est tressé, un peu souple, mais on reste loin de ce que l’on sait faire aujourd’hui sur le sujet. C’est dommage, mais la souris étant destinée à être utilisée en mode sans-fil et disposant d’une recharge rapide, on se dit que les scénarios où on l’utilisera réellement en mode filaire seront rares et finalement, de courte durée.

Enfin, sous la souris, on retrouve quatre zones de glisse : un large patin semi-circulaire à l’arrière, deux patins ronds et plein à l’avant et un autre qui entoure le capteur optique TrueMove Air, coconçu avec PixArt. À noter que la présence de cet écran OLED n’est valable que sur le modèle Prime+, la Prime Wireless n’en est pas dotée.