Test souris Xtrfy M4 Wireless, plus qu’une simple mise à jour !, page 2

Avec la coque installée de base avec la souris, la Xtrfy M4 Wireless reprend exactement les mêmes formes que la M4 tout court. On a donc ici une souris aux courbes à la fois prononcées et racées, avec un renfoncement très net pour le pouce, tout en maintenant une hauteur assez concentrée et une inclinaison assez basse. Au-dessus de l’emplacement pour le pouce, deux boutons latéraux dont on ignore la provenance des switchs.

Les boutons principaux sont distincts de la coque. En lieu et place des trop traditionnels et maintenant vieillissants switchs Omron 20 million de clics qui équipaient la M4, Xtrfy a choisi ce qu’il se fait de mieux en ce moment : des Kailh GM 8.0. La molette reste indentique, avec un liseré centré translucide rétroéclairé. Derrière celle-ci, on retrouve un bouton de commande de la souris, celle-ci étant entièrement dépourvue de logiciel compagnon pour la paramétrer. On y reviendra plus tard.

Une autre différence avec la M4, c’est l’intégration du rétroéclairage RGB. Si sur cette dernière, on avait un liseré qui englobait toute la partie avant de la souris et terminait sa course au niveau de l’arrière du bouton latéral Précédent. Sur la M4 Wireless, ce liseré n’existe plus et en lieu et place, on retrouve une zone rétroéclairée à l’intérieur de la souris qui illumine le logo du constructeur.

Enfin, sous la souris, on perd bizarrement le patin de glisse en PTFE qui entourait le capteur (qui, au passage, a switché d’un PixArt 3389 vers un 3370 bien moins énergivore donc très adapté aux souris sans-fil pour améliorer leur autonomie) et on constate quelques autres nouveautés. Le bouton DPI est remplacé par un bouton pour changer le niveau du polling rate et le bouton poussoir ne sert donc plus à régler le refresh rate mais à éteindre la souris, changer de DPI, entrer dans les paramétrages RGB ou tout simplement pour allumer la souris.

Enfin, on retrouve 5 micro-vis. Trois servent à fixer la coque que l’on souhaite mettre et deux autres servent à ajuster l’emplacement en profondeur sur plusieurs millimètres d’un petit poids logé dans la souris.