Test casque Turtle Beach Stealth 600 Gen 2 MAX : des réussites et des petits ratés, page 2

Le casque se présente donc dans une robe rouge mat très légèrement foncée. De loin, le rendu de la couleur est vraiment saisissant mais de près, on s’aperçoit que les finitions entièrement plastique – ce qui peut ne pas être un problème de base en soi – ne sont pas des plus qualitatives sur cette gamme de prix. On observe quelques griffures ici et là, peut-être que nous n’avons pas eu de chance et/ou que cela n’est pas le cas sur les autres coloris.

Les écouteurs disposent d’un petit angle de pivotement pour s’adapter au mieux à la forme de votre crâne. De même, l’arceau est bien naturellement réglage et il dispose d’un rembourrage avec une mousse à mémoire de forme recouverte d’un similicuir aux bonnes finitions. Pour les oreilles, Turtle Beach a prévu des mousses à mémoire de forme à l’épaisseur généreuse, recouvertes non pas de similicuir à l’instar de l’arceau, mais d’un tissu respirant.

C’est sur l’oreillette de gauche que le micro et toutes les commandes et fonctionnalités sont installés. Le micro, omnidirectionnel, est sur un système à bascule et se désactive lorsqu’il est remonté. On note que le constructeur a pris soin de faire en sorte qu’il soit parfaitement intégré dans la structure de l’écouteur. Puis on retrouve une diode d’activité, un port USB-C pour la recharge, un bouton de mise sous tension de l’appareil, un bouton mode qui permet de faire défiler les différents presets audios, une molette de réglage du volume du chat en mode Xbox ou du volume de retour du microphone en mode USB et enfin, une molette de réglage du volume maître.

La diode propose un code couleur suivant plusieurs scénarios : vert fixe pour indiquer que le casque est appairé au récepteur USB, vert respiration lorsque le casque est allumé et que la batterie est pleine, clignotement double-vert si le casque n’est pas appairé, rouge fixe lorsque le casque est en charge et clignotant rouge lorsque le niveau de batterie est faible.