Test boitier NZXT Zero 2, page 4

En premier lieu l'alimentation. Même si celle-ci prend place dans le haut, son installation est aisée grâce à la présence de la patte, qui permet de la soutenir durant sa fixation via 4 vis.

Pour le lecteur optique, après avoir retiré le cache de la façade, il suffit de placer les rails adéquats sur celui-ci, et ensuite de l'insérer dans son emplacement. Nous ne sommes pas au niveau d'un système clip & go, mais cela reste simple et accessible à tous. De plus l'ajustement avec la façade est bon.



Passons maintenant à la carte mère. Encore et toujours il est nécessaire de visser les plots sur le plateau. La carte se glisse, elle, très facilement dans le boitier, car la place ne manque pas. Il y a une marge plus que confortable entre celle-ci et la cage HDD, mais aussi entre le ventilateur et l'alimentation, c'est un bon point.

Au niveau des disques durs la méthode est la même que pour le lecteur optique. On insère des rails de chaque coté, et on place le tout dans les logements adéquats jusqu'au "clic" qui certifie le bon maintien de l'ensemble. Un système connu et reconnu pour son efficacité.



Pour la carte graphique, nous avons le droit à un bon système par vis, qui sera toujours le plus efficace, surtout pour les longues cartes. Des ouvertures sont présentes pour le passage du tournevis, dans le but de vous faciliter l'accès aux vis des slots.

Il nous reste le câblage, qui n'est surement pas le point fort de ce boitier. En effet, il n'y a aucun passage pour dissimuler ses derniers. Il faut donc les regrouper au maximum et les faire passer au centre entre la carte mère et les baies. On revient donc quelques mois en arrière, et il est difficile de réaliser un montage extrêmement propre. il faut dire que de nombreux autres constructeurs ont mis la barre très haut à ce niveau.

Une fois en marche, le ZERO 2 dévoile ses illuminations bleues, qui sont du plus bel effet, mais totalement inutiles au niveau des performances.