Test Corsair K70 RGB TKL : des switchs optiques bienvenus !, page 3

Le logiciel

Pour personnaliser le clavier, il faut installer et utiliser le logiciel unifié Corsair iCue. Une usine à gaz, certes, mais bien gérée et assez ergonomique. Il permettra bien naturellement de changer l’attribution des touches et d’éditer des macros pour coller aux besoins des utilisateurs, qu’il s’agisse de gaming ou de bureautique.

Là où Corsair propose toujours un boulot monstre, c’est sur la partie rétroéclairage. Les possibilités sont excessivement nombreuses, avec une palette d’effets toujours aussi dense et surtout la possibilité de combiner plusieurs couches d’effets, sur l’ensemble du clavier ou touche par touche, et de synchroniser ces effets avec d’autres périphériques et composants du même constructeur. Un vrai régal pour qui s’y penche, mais les modes et effets par défaut sont bien suffisamment riches comme cela pour trouver chaussure à son pied très facilement sans y passer trop de temps.

Dans l’onglet Performances, on pourra choisir de désactiver les touches et combinaisons de touches qui peuvent poser problème lorsqu’on est en jeux, comme Alt+F4, Alt+TAB, la touche Windows, etc. On pourra également gérer la couleur du voyant du mode tournament et choisir quel profil, si on en fait plusieurs, sera activé avec ce mode. Dans les paramètres du clavier, on pourra y chercher les nouvelles mises-à-jour du firmware, la luminosité et la disposition du clavier, mais également déterminer la vitesse du taux de transfert. Par défaut à 1000 Hz, Corsair propose avec sa technologie AXON d’avoir un taux de rafraichissement boosté à 4000 Hz.