Test CORSAIR Virtuoso Pro : encore un effort !, page 2

Le casque

Le Corsair Virtuoso Pro est fourni dans une belle housse de transport rigide dans laquelle on retrouve bien évidemment le casque, mais aussi les différents câbles. Parmi eux, on a un câble avec microphone, un câble sans microphone et un adaptateur en Y pour rendre le casque compatible avec tout type de plateforme, que ce soit sur un port combo-jack ou un jack dédié pour le son entrant et un autre pour le son sortant. À noter que Corsair prévoit un câble optionnel supplémentaire qui se termine en jack 4.4mm symétrique, si jamais.

Le Virtuoso Pro est décliné en deux coloris : noir ou, comme notre exemplaire de test, blanc. De type ouvert, on a le droit à des parties grillagées au niveau des écouteurs avec des motifs triangulaires identifiables de la marque. Majoritairement constitué d’un plastique blanc mat, la structure interne est en aluminium et permet bien évidemment de régler la hauteur de l’arcuea. Ce dernier est copieusement rembourré d’une mousse à mémoire de forme, recouverte d’un tissu synthétique respirant, tout comme les oreillettes.

Ces dernières abritent des transducteurs de 50 mm de diamètre qui offrent une sensibilité donnée à 117 dB pour une réponse en fréquence de 20 Hz à 40 kHz. Pour une durabilité accrue, les coussinets sont amovibles pour pouvoir être changés au besoin.

Le casque a donc l’étrange particularité de n’avoir qu’un seul port jack et il faudra donc utiliser soit le câble muni du micro, soit l’autre qui en est dénué selon vos besoins. Au niveau de la base du câble qui intègre le microphone, on retrouve un petit bouton Mute pour l’activer ou le désactiver à la volée. En tout cas, pas de possibilité de brancher un micro directement sur le casque. Pourquoi pas, mais pourquoi quand même ?