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Steelseries 7G, une Rolls ??, page 2

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Publié le 09 Mars 2010
Page: 2/4



Présentation

Sorti de sa boîte, il laisse pantois. Certes le clavier est en ABS noir, mais il doit être épais et surtout le clavier propose une structure entièrement métallique à l’intérieur. Il y a aussi la caractéristique principale de ce 7G, le poids de la mécanique. Un seul conseil, qu’il ne tombe jamais !

Sa taille est imposante, tout autant que le poids. Sortant tout juste du test de l’Arvo, là, nous passons dans la cour de Géant Vert, enfin tout est relatif. Ses dimensions sont de 450 X 137 mm n’en font pas un clavier aussi conséquent qu’un G19. Son épaisseur est variable de 21 à 35 mm, il ne propose pas de pieds d’ajustement. Se suffirait-il à lui-même ? C’est que nous allons voir, L4D2 nous voilà !

Le bundle est réduit, puisque Steelseries ne fournit qu’un adaptateur PS2 vers USB, un succinct manuel d’utilisation et un livret des produits commercialisés par Steelseries. Bref, Steelseries va direct au but, ici, l’important, c’est le clavier.





Evidemment comme à chaque fois sur un clavier, nous trouvons des touches, éléments importants pour un Fermier sans lesquels les lecteurs n’auraient à cette prose parfaite, mais néanmoins journalistiquement objective. Ce 7G ne fait pas dans l’exubérance, c’est le moins que l’on puisse dire. En effet, il n’y a aucune touche à destination des macros. Nous pouvons donc le qualifier de clavier ultra classique, si ce n’est la présence d’un repose poignet de colossale taille. En effet, celui-ci rajoute 10 cm de plus au clavier, il y aura donc de la place pour poser les poignets plutôt sereinement. Ce dit repose poignet s’encastre sur le clavier, pas de petites pattes en plastiques qui cassent à la première LAN dans le sac à dos. Nous verrons si, aussi grand soit-il, il apporte un plus... ou pas.

Sous le clavier, il n’y a rien, hormis les quatre patins antidérapants. Par contre, à l’avant, nous allons trouver deux USB et une entrée/sortie audio. Ces connections sont plutôt bien placées puisque sur la gauche du clavier, enfin, pratique pour les droitiers, les gauchers se bagarreront avec les câbles et la souris ! Les USB sont cependant à la norme 1.1, cela date un peu !





Les touches du clavier sont à l’image des premiers claviers de bureautique, hautes, voire très hautes. Il ne joue clairement pas dans la gamme touches ultra plates ou même semi plates. Est-ce la résultante de la mécanique ou pas ? Aucune idée, mais cela permet d’aborder LE truc en plus de ce 7G, les touches sont mécaniques. Pas de connectique, pas de système électronique, ce 7G a des touches à l’ancienne avec des interrupteurs plaqués or 18 carats, s’il vous plaît. Il est prévu pour subir plus de 50 millions de frappes. En gros, le travail d’une semaine de Fermier.
Jeu oblige, un système Anti-Ghosting nous aidera dans le triple salto vrillé terminé par un HS de la mort-qui-tue-les-canaris-de-Mamie-Gâteau-d’un-coup-bien-placé-sur-le-haut-de-la-tête-parce-qu’ils-piallent-tout-le-temps-ces-sales-bêtes nécessaire et impératif à la conservation du statut de PGM. Il sera donc possible de se modifier génétiquement afin d’obtenir les 25 doigts tant convoités. Une seule obligation, le clavier doit être connecté en PS2 pour en bénéficier. Ces connectiques sont au bout d’un magnifique câble tressé de 2m, et sont les suivantes : une PS2, deux USB et une entrée/sortie audio. USB et entrée/sortie audio sont évidemment prévus pour les clones du clavier.

Steelserie ne fournit pas de pilotes et le clavier de toutes les façons n’en auraient pas besoin. Il n’y aura donc pas de chapitre logiciel.





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Marque : SteelSeries