Boitier Ikonik Transform A10, du bon et du moins bon, page 4

Commençons avec notre alimentation. Avec l'emplacement dans le bas, il est facile de placer cette dernière. De plus avec les patins en caoutchouc, il ne devrait pas y avoir de vibrations parasites. Bref, 4 vis et c'est bon.

Au niveau de la carte mère, pas de soucis non plus, même avec le Z600. L'espace est suffisant, mais il ne faut pas oublier de visser les plots dans le fond du panier, mais aussi passer le cable 8 Pin CPU dans le trou prévu à cet effet dans le haut. Tout se passe donc pour le mieux.

On termine avec le lecteur optique. Il est obligatoire de retirer la façade pour ôter le cache baie. Ensuite on dépose les systèmes sans outil (à gauche et à droite), on met le lecteur en place et on le refixe. La fixation est bonne, l'ajustement avec la façade est correct.



Passons maintenant aux disques durs, qui reprennent le même principe que pour le lecteur optique. Il faut donc ôter les systèmes de montage à droite et à gauche, placer les disques durs dans les baies, et refixer le tout. Comme on a le droit à un dispositif de chaque coté, le maintien des unités de stockage est plutôt bon, mais nous aurions quand préféré une cage à 90° avec des rails, qui sont plus pratiques.

Enfin, la carte graphique, qui s'installe sans peine grâce aux vis à mains. Une solution que nous apprécions particulièrement pour la qualité de la fixation.



Terminons avec le câblage. Cette opération est simplifiée par les quelques passages que propose le boitier qui nous semble amplement suffisants, du moins pour tous les composants sauf les disques durs. En effet, en raison de la cage un peu vieillotte et sa disposition, on se retrouve très vite avec un gros tas de câble dans le bas du boitier. Mais pour le reste, le châssis fait son office.

Une fois en marche, le boitier nous montre son gros Power On illuminé en bleu, cela fait son petit effet.