Silverstone Raven RVM01B, page 2

Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette souris est massive, ce n’est peut-être qu’une impression. Mais c’est une sensation nette. 128 X 85 X 45 mm en font tout de même une belle souris. La finition est impeccable et les ajustements précis. La coque est plutôt cosmopolite. En effet, nous ne trouvons pas moins de trois types de plastiques sur cette Raven. Un plastique soft touch sur les clics, un plastique dur noir granuleux sur les côtés et enfin un arrière en carbone (en tous cas, si c’est une imitation, elle est parfaite, mais a priori, ce n’en est pas une). Sur le dessus de la coque, nous trouvons un écran OLED inséré sur la partie soft touch. Juste en avant de cet écran, deux boutons surmontant eux-mêmes la molette, somme toute, en relatif désaccord avec l’ensemble. Elle fait particulièrement cheap quand la souris elle-même dégage une forte impression de solidité.

L’arrière de la coque en carbone porte le rappel de la marque Silverstone. Un petit mot sur la présence de carbone, matériau noble, c’est le genre d’attention qui fait plaisir et, de suite, met en valeur un produit.



Le côté droit porte en partie haute deux boutons destinés au doigt de l’oreille. Ceux-ci sont de couleur argenté. Au même titre que les boutons centraux, ils proposent une forme légèrement triangulaire. Ça change des sempiternels boutons plats. Il n’y a pas de travail remarquable au niveau de l’ergonomie. Seule un évidement et un renflement sur l’arrière sont présents pour faciliter la préhension.

C’est à droite que se voit la plus grosse innovation de la Raven. Un énorme bouton-molette trône en son milieu, et en avant, deux boutons de plus. Celui-ci est en plastique translucide et force est de constater, qu’il est particulièrement massif. A la connexion, il s’illumine d’un bleu particulièrement efficace pour le refroidissement du pouce.



En dessous, la Raven est supportée par quatre patins téflons, plutôt petits par rapport à la taille de la souris. Nous y découvrons aussi un curseur à placer sur deux modes : normal et game. Quel en sera l’utilisation, mystère et boule de gomme !! Enfin, mystère de courte durée pour ceux qui liront la suite ! (technique d’accroche du lecteur inside)



Bon au niveau de la technique, le câble est classique en caoutchouc de 1.80 m de longueur. Le capteur propose 3200 DPI. Celui-ci est réglable par pas de 1. L’USB n’est pas plaqué or, et la vitesse d’échantillonnage n’est pas paramétrable. Finalement, elle fait dans la simplicité ce qui se retrouvera nous le verrons dans l’utilisation de la souris et du soft.