Beyerdynamic MMX 300, Juste Wahou

Dernièrement, nous vous avons présenté en long, en large, et en profondeur un casque allemand, le GHS-1 d’AKG. Aujourd’hui, nous allons à nouveau parler d’un casque allemand. Le fabricant de celui-ci n’a pas non plus de leçon à recevoir, puisqu'il s’agit de Beyerdynamic. Lui aussi existe depuis la nuit des temps ou pas loin, 1924. En gros, il a plus d’une vie d’expérience. Nous nous devons de vous avertir, c’est bien la moindre des choses. Le casque testé aujourd’hui, le MMX300, est proche, s’il n’est pas, de la perfection. Le fait de vous donner cette information de suite risque de couper net la lecture, toutefois, étant donné les faits, il est préférable d’être honnête avec vous de façon à ce que vous ne vous demandiez pas si nous n’avons pas des actions chez ce fabricant ! Non, nous n’en avons pas, ce qui est bien dommage d’ailleurs. Partons pour un tour dans le vrai, le pur son.



Le MMX300 nous est arrivé dans son carton vintage look. En effet, en comparaison avec d’autres, au serpent par exemple, le packaging fait rire. Le carton alterne, harmonise, les couleurs avec un goût certain. Il n’est pas impossible que le responsable marketing roule en Fuego avec volant moumoute, dés en peluche au rétroviseur intérieur… Bref, il s’agit d’un véritable hommage au mauvais goût. Orange, bleu et gris argenté…En tous les cas, au dos de la boîte, on retrouve les caractéristiques du MMX300 en moult langues. Elles sont surtout écrites si petit qu’il faut de bons yeux. Petite attention délicate, relative au regard du prix du casque, un sac de transport noir, format et look sac à dos. Une fois n’est pas coutume, nous vous donnerons le prix de suite, environ 280€, ce qui, nous l’admettons, n’est pas donné. Mais vous le verrez, c’est presque un cadeau.

Le bundle est constitué des traditionnels notices, mais aussi et surtout d’une carte son rectangulaire siglée Beyerdynamic USB. En plus donc, du joli sac à dos de transport. Et pis c’est tout, sauf une petite notice.