SteelSeries 6Gv2, petit mais costaud !, page 2

Le clavier, parce que finalement c’est ce qui nous intéresse, est lourd, voire très lourd vu le régime minceur auquel Steelseries l’a contraint. Mais, si vous nous suivez, vous savez que c’est le cas de tous les claviers mécaniques. Pour la perte de poids, en fait, le 6Gv2 s’est allégé du repose-poignet, des ports USB et enfin des deux jacks audio. Cela constitue, au regard du service que doit rendre un clavier, une perte mineure, excepté peut-être le retrait du repose poignet. En effet, sur le 7G, il était particulièrement bienvenu car bien conçu et il participait largement au confort global de l’engin.



Le 6Gv2 est totalement conçu autour de plastique granuleux de couleur noire. Avec sa construction mécanique, il présente quand même un look et un design vieille école. A priori, on ne choisit pas un méca pour son look, plutôt pour le confort. Etant donné qu’il s’agit d’un clavier, nous allons trouver un certain nombre de touches. Elles sont toutes de type classique, il n’y a pas de low-profil ici. Il s’agit de bonnes vieilles touches à l’ancienne, bien hautes. Les touches de fonctions comportent tout de même quelques commandes multimédias, ainsi on a droit à lecture/pause-morceau suivant-morceau précédent et aussi baisse et augmentation du volume avec un mute. Il y a donc de quoi piloter au clavier son lecteur musical préféré. Au dessus du pavé numérique, les diodes d’indication Num-Scroll et Lock ont choisi le blanc, cela nous change un peu des sempiternels rouges et bleus classiques. Celles-ci sont surmontées d’un rappel de la marque en blanc avec le sigle. Le marquage des touches alphanumériques reste aussi très classique et c’est tant mieux. Cela permet d’éviter la faute de goût à la Blackwidow. La touche Windows de gauche est remplacée par une touche spécifique Steelseries. Elle permettra en la combinant avec les touches de fonctions d’activer les commandes multimédias. Et surtout, cela évite au gamer maladroit, que nous ne sommes pas à la Ferme, le destructeur retour Windows. En dessous, le 6Gv2 n’offre rien de particulier, à l’exception de quatre patins de caoutchouc souple. Avec le poids important du clavier, il ne devrait normalement pas déraper. Comme nous vous le disions, le 6Gv2 se caractérise par l’absence du repose-poignet du 7G. De fait, le 6Gv2 est compact, la coque entourant les touches est, de plus, particulièrement fine. Il n’encombrera pas le bureau. Les dimensions confirment bien la compacité de l’ensemble, 445 X 137 X 19 (châssis) et 30(avec les touches) mm. En contrepartie, il ne dispose pas de touches de macros, ni d’aucun des gadgets qui peuvent parfois s’avérer bien pratiques. . A contrario du poids important du 6Gv2, il a été pesé à 1120 grammes, oui c’est lourd !! Mais nous le répétons, un clavier mécanique se sélectionne pour son confort tant en frappe qu’en jeu. Passons donc à ses aspects les plus importants. Il n’y a pas besoin de chapitre logiciel, puisqu’il n’y en a pas.