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Krator Neso 02 : Du bon son en 2.0 ?, page 2

Article
Si elle est disponible un jour en France, elle pourrait faire craquer.
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Publié le 13 Mai 2011
Page: 2/4



Les enceintes sont identiques quasiment en tous points, à l’exception qu’une des deux pilote l’ensemble et se voit en conséquence dotée des boutons de volume et de réglage de tonalité. Clairement, Krator, même si certaines affirmations nous laissent dubitatifs, notamment le montage à la main, a mis les petits plats dans le grand tant sur la présentation que sur la finition. Rien ne dépasse, les ajustements sont précis, il n’y a aucune bavure de finition. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la finition est nickel. De fait, cela donne plus de temps pour se focaliser sur l’esthétique de ces Neso. Et là, pareillement, il faut reconnaître que c’est beau, ça jette et ça flatte l’œil. L’alu, les vis BTR, et le mélaminé noir, veiné bois, tout se marie parfaitement. Elles habilleront sans coup férir un bureau et lui donneront la touche monitoring, pro du son qui va bien.

La façade opte donc, nous l’avons dit, pour un plaquage alu brossé de toute beauté. Cette façade est maintenue aux quatre coins par des vis BTR. Sur la partie supérieure, Krator nous fait le classique rappel de la marque avec un insert sur lequel on trouve en lettre chrome le nom de la marque. La membrane est, bien sûr, centrée sur cet habillage alu. Le saladier est lui-maintenu par quatre vis BTR. C’est à ce niveau que la spécificité de cette série de Krator saute aux yeux, à savoir d’une part la couleur de la dite membrane, bronze, et deuxièmement l’aspect de cette membrane avec un obus chromé en son centre. Sous le HP, nous découvrons un premier évent de forme rectangulaire aux petits côtés arrondis. En fait, la façade nous joue la carte métallique. Ce qui d’ailleurs se marie plutôt bien avec les côtés de l’enceinte qui font appel à un mélaminé, aspect veiné bois noir, un peu bois exotique. De profil, l’enceinte est légèrement trapézoïdale tout en optant pour une arête sur l’arrière arrondi. On le voit dans la description, véritablement Krator a recherché une esthétique qui sorte de l’ordinaire tout en restant, somme toute, classique. Sous l’enceinte, quatre simples patins caoutchouc sont mobilisés pour gérer à la fois l’anti-dérapage et l’absorption des vibrations. Cela semble tout de même assez léger, à voir ! A l’arrière, les deux enceintes ne sont pas identiques, mais toutes deux sont dotées d’un évent Bass reflex assez important au regard de la taille de l’ensemble. L’enceinte principale porte elle donc sur un des côtés un petit panneau de commande, en alu anodisé noir. Sur celui-ci, nous trouvons deux boutons aussi en alu, le plus gros permet de moduler le volume et le deuxième la tonalité, de plus aigu à plus grave. Il y a aussi une prise casque en jack 3.5 mm juste à côté de ce petit bouton. Une petite led bleu, favorisant le refroidissement des bobines comme chacun sait, indiquera la mise en service ou pas. Le panneau arrière, en alu anodisé noir, de l’enceinte principale accueille un bouton d’allumage de type basculeur, un RCA rouge-blanc d’entrée et un RCA jaune de sortie vers la deuxième enceinte, et enfin la prise d’alimentation de l’adaptateur secteur.







Pour les données techniques, les Neso 2.0 couvrent un spectre courant de 70 à 20000 Hz, ce qui, de suite, amène la remarque d’une faible couverture des basses. Cela dit, vu la taille des enceintes et des membranes, il aurait été étonnant qu’elles descendent bien bas. A priori, elles balanceraient un joli 20 W RMS. Les hauts parleurs sont constitués de membranes de 70 mm. Les dimensions d’une enceinte sont les suivantes : 12.5 X 19.6 X 14.6 cm. Cela reste tout à fait acceptable pour des enceintes de bureau et surtout pc. Elles ont été pesées à 1265 grammes pour l’enceinte esclave, et à 1405 grammes pour la principale. Reste à voir maintenant si le son pousse autant que Krator veut bien nous l’affirmer…On ne vient pas chercher la Ferme impunément.

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Tags : Bon