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Souris Sentinel Zero-G : CM Storm défend et attaque, page 2

Article
Pour le Gamer
Rédigé par
Publié le 10 Juin 2011
Page: 2/5






Une fois prise en main, la Sentinel est relativement lourde et pour cause, elle a dans son petit corps menu toutes les masselottes en place. La finition est bonne. Il y a bien un ou deux interstices qui ne sont pas tout à fait réguliers, mais rien de bien méchant. CM a cédé à l’exigence de mode du moment, la Sentinel est recouverte de caoutchouc tout doux, par contre, pour une fois, il est gris. Ce qui change et éclaircit notablement la souris. Nous trouvons aussi du plastique finement granuleux noir sur les clics et le dessous. Il y a aussi une partie centrale laquée noir et le treillis offre des reflets de couleur bronze. En fait, elle est plutôt sympathique et jolie.

Sur le dessus de la coque, une fenêtre translucide permet de voir l’écran OLED que la Sentinel accueille. Elle est entourée de la fameuse partie percée de trous circulaires, à espérer que CM ait résolu le problème de peinture sur cette version. Sur la première version, elle disparaissait un peu trop rapidement. Ceux-ci autoriseront certainement la lumière des leds à passer au même titre que le rectangle et le triangle translucides sis juste en arrière. Les clics, en plastique granuleux, encadrent le laqué noir qui accueille juste sous l’écran, deux boutons rectangulaires, la molette, toute simple, presque chétive, en caoutchouc cranté noir et un autre bouton situé en avant de celle-ci. Les deux boutons parallèles gèrent la montée et la descente des DPI et celui devant la molette permet de se balader dans les profils. Sur l’avant de la Sentinel, juste en dessous des clics, il y a, à nouveau, deux petites fenêtres translucides, un peu comme des phares. Ce sont les yeux de la Sentinel qui va vous surveiller dans votre sommeil, observer vos moindres mouvements, faits et gestes. Sapristi, encore cette obsession du pouvoir ! Sur l’arrière de la coque, en soft touch gris, nous avons droit au rappel de la marque « CM Storm ». Celui-ci suit un trait en profondeur qui délimite en fait le côté droit. En parlant de ce côté, il ne présente rien de plus qu’un renflement sur l’arrière qui devrait autoriser un bon calage sur la paume. A droite, un important évidement accueillera votre pouce. Deux boutons trapézoïdaux l’attendront aussi, ils sont aussi recouverts de simili peau de pêche et portent un liseré gris. En dessous, c’est dingue de constater que les fabricants ont tous la même habitude, celle d’y mettre le capteur. Il est entouré par deux bandes de téflon. On trouve en plus deux autres patins, beaucoup plus petits, un entre les « phares » et l’autre juste derrière la trappe de poids. Une fois ouverte, celle-ci montre les masselottes au nombre de cinq, elles sont insérées dans une mousse percée.



Au niveau de la technique, la Sentinel, première du nom, en proposait déjà beaucoup, il était donc difficile de faire plus pour CM Storm. De fait, nous retrouvons peu ou prou les mêmes caractéristiques. Le capteur est un double laser, le Twin-laser Sense proposant 5600 DPI et encaissant 50 g, soit tout juste pour pouvoir monter dans une Mégane au capot orné de divers autocollant à l’accélération. Le capteur cesse de bouger dès une levée d’1 mm. Comme d’habitude, il y a bien plus que nécessaire. Elle embarque une puce mémoire de 128 Ko. Les 8 boutons sont programmables et surtout il y a le Rapid Fire, déjà vu sur l’Inferno. L’USB est plaqué or et le câble tressé. Nous avons pesé la Sentinel à 111 grammes et vous pouvez rajouter 22.5 grammes de masselottes. Les dimensions de la Sentinel sont les suivantes : 135 X 82 X 36 mm, soit une souris relativement longue. Elle est plus massive que notre EC2 de tous les jours.

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Marque : CM Storm