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Le mieux, c’est de jouer avec Kulo, page 2

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Publié le 01 Septembre 2011
Page: 2/5



Pris en main, le casque fait valoir une belle finition, pas d’ébavurages moyens. La seule chose qui fait un peu tiquer, c’est le fait que, finalement, les écouteurs brinquebalent un peu avec un bruit de plastique. Pour le reste, le souft touch côtoie le plastique dur lisse aspect laqué. Nous retrouvons quelques touches de métal, bref au delà de la taille qui surprend, encore une fois, Roccat nous livre un beau produit. Revenons à la taille, c’est un casque compact. Pourtant, le prix lui n’est pas celui d’un casque compact, il faut le dire. Du coup, cela fera partie à coup sûr à la fois des défauts et des qualités.

Le serre-tête est en plastique noir finement granuleux. Il est aussi ajouré, ce qui laisse apparaître la réglette métallique, l’arceau, qui fait office de squelette. Sur la face intérieure, un petit coussin de skaï doté d’une mousse toute fine et toute souple, mais clairement pas épaisse. Les réglages situés au dessus des écouteurs sont constitués d’une simple barrette de plastique fixée sur l’arceau métallique. Les crans, situés sur la partie inférieure, sont en plastique, mais ne sont pas très marqués au coulissement. La tenue dans le temps pourra être à surveiller, les crans risquant fort de s’user. En tous les cas, la recherche de Roccat pour donner un style se retrouve jusque dans la découpe travaillée des réglages. L’arceau se termine par une partie circulaire massive recouverte de soft touch. Au centre de la pièce circulaire droite, Roccat nous rappelle qui est le Kulo et qui le fabrique en lettres grises et bleus. Encore une fois, Roccat travaille le look, la pièce dite circulaire possède trois «pattes » qui lu donne un look pièce de serrure de l’espace. L’oreillette retrouve cette découpe en négatif, cela dit, elle est en plastique, clairement pas en titane de l’espace. Des rainures achèvent le design. L’oreillette est recouverte d’une mousse revêtue de cuir. Nous retrouvons cette découpe n peu triangulaire sur le skaï de l’écouteur. Son aspect plein est à la mode, il suffit de regarder le nombre de petits casques audios qui ont opté pour ce même type de look. Sur l’écouteur gauche, à l’arrière une pièce massive en caoutchouc souple fait office de départ du câble. Nous avons aussi droit à la perche de micro qui alterne plastique dur et souple. La perche est solidaire de la pièce ronde de l’oreillette, et quand on remonte la perche, c’est toute la pièce qui tourne. En lettre grise, sur la perche, se trouve un rappel de la fonction « auto-mute » du micro. Le micro lui-même est hébergé derrière une grille trouée. Le ling du câble, la télécommande de réglage du niveau de volume est extrêmement fine. Un curseur fait office de molette, il glisse tout du long de la télécommande. La carte son quant à elle est de petite taille. Elle est aussi à l’avenant du reste, avec un look particulier. En effet, elle ressemble un peu à une grosse clé USB dont les bords auraient été crantés. Deux entrées 3.5 mm femelles attendent sagement les jacks du casque.







Au niveau technique, le Kulo est équipé de HP de 40 mm et couvre un spectre de 20 à 20000 Hz. L’impédance est de 50 Ohms, et la sensibilité de 102 Db. Le câble n’est pas tressé et se termine donc par deux jacks 3.5 mm non plaqué or. Le micro couvre un spectre inférieur, 70 à 20000 Hz. Ce qui est, d’ailleurs, bien plus que la moyenne des micros de casque. Une carte son de 7.1 émulé permettra de brancher le casque en USB. Le Kulo opte pour un modèle fermé et supra-aural. Il reste, de plus, assez léger puisqu’il est pesé à seulement 196 grammes. Nous passerons par un chapitre soft puisqu’il faut aller le télécharger.

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Tags : Jouer