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Une souris Kova [+] et un tapis Alumic : Roccat x2 ce jour, page 2

Article
Roccat et roccat
Rédigé par
Publié le 29 Septembre 2011
Page: 2/6



La Kova, première du nom, présentait bien tant au niveau du look que de la qualité de fabrication. Ici, c’est son clone moderne, il n’y a pas de raison que le look ne nous plaise plus. De fait, la Kova reste même en version [+] toujours aussi sympathique. De plus, Roccat a abandonné le tout plastique dur lisse pour plus de soft touch, c’est un bon point. En termes de finition, comme à son habitude, Roccat travaille bien ou, en tous les cas, impose un cahier des charges précis et drastiques. Les différentes pièces qui composent la Kova s’ajustent parfaitement, les espacements sont réguliers et les ébavurages sont propres. Rien à redire à ce niveau, sauf peut-être qu’un peu de couleur, hormis les leds auraient égayé le tout. La mode est plutôt au port de souris blanche en ce moment. Mais ce n’est qu’une piètre considération de Fermier bucolique.





A la prise en main, la Kova [+] n’est franchement pas lourde. Cela sera confirmé par les chiffres de notre balance made in cartel. Pour le reste, c’est une Kova classique. Elle présente un certain nombre d’arête et de coupes biaises qui participent très nettement de la réussite esthétique de cette souris. Oui, vous l’aurez compris, cette Kova nous plaît bien. De plus, elle pourra plaire aux gauchers sans aucun problème puisqu’elle a le bon goût d’être ambidextre. Les deux clics, sur l’avant de la coque, sont symétriques, larges et portent tous deux une petite bande en forme de L translucide que nous savons être illuminés à la connexion.

Entre ceux-ci, l’on trouve une des principales caractéristiques de la Kova, sa molette, large, à la bande caoutchouc noir à deux biais. Le clic droit est orné du rappel de la marque en profondeur, un gros « Roccat » en lettre majuscule. Débutant en avant de la molette, une arête court jusqu’à l’arrière de la coque. Elle sépare les deux clics en se transformant en coupure de la coque. Cela donne un aspect un peu massif puisque, par le fait, les clics sont solidaires de la coque. Sur l’arrière de la coque, franchement au ras du tapis, nous découvrons ce que nous avions appelé les feux de recul de la Kova, et qui restent encore aujourd’hui les feux arrières de la souris. En y regardant de plus, on pourrait presque en regardant uniquement l’arrière lui trouver un aspect de quelque bête reptilienne. Force est de constater que Roccat maîtrise les choses sur l’aspect esthétique de cette Kova. L’avant de la souris héberge, centré, le câble, non tressé, de connexion.
Ambidextrie oblige, les côtés sont symétriques eux aussi. A l’image de la souris, ils sont tout en arêtes. Deux arêtes élargissent l’arrière des côtés et de la souris afin de peaufiner, ou pas, l’ergonomie de la souris. Le côté gauche porte un pavé antidérapant sur lequel une inscription grise indique le nom de la souris. Maintenant, elle est accompagné d’un [+]. Deux boutons accompagnent la plongée de la coque vers l’avant. Le côté droit est, évidemment, identique en tous points, excepté l’inscription.
En dessous, Roccat a jugé nécessaire de nous rappeler encore une fois que la Kova [+] est une Roccat. Il y a aussi quelques autocollants, mais aussi et bien s’en faut, les patins, quatre et le capteur. Les quatre patins sont fins et tout en longueur, ce qui aura pour effet de marquer la glisse, vous le verrez. Le capteur est décalé vers la droite, ou vers la gauche en fonction du sens, dessus ou dessous, dont on regarde la souris. Voilà pour l’essentiel de la description.



Au niveau technique, comme le voulait la Kova, sobriété et simplicité avaient dicté la conception. Même si avec la [+], on reste assez prêt de ce concept, Roccat a un peu complexifier les choses. En effet, Roccat a implémenté la fonctionnalité phare du moment, l’EasyShift. Nous pouvons vous le dire maintenant, c’est une bien bonne chose puisque ce plus fonctionne bien, voire très bien. Sinon, le capteur est un simple optique de 3200 DPI, ce qui, encore une fois, suffit largement. Il encaisse ses 20 G d’accélération. La connexion USB n’est pas plaqué or et le câble reste en simple caoutchouc. Celui-ci mesure ses 2 mètres réglementaires. En revanche, la fréquence de la connexion atteint les 1000 Hz, la normalité pour une souris de jeu. Bien entendu, il n’y a pas de système de masselottes. En implémentant donc les nouvelles fonctionnalités, Roccat a multiplié les boutons utilisables de la souris. Ainsi de 7 boutons programmables, on passe à 8 supplémentaires, molette comprise. Du coup, Roccat va nous donner du travail supplémentaire en nous obligeant à parler du soft…Que ne sont-ils pas durs ! En cette période de rentrée, à la Ferme, ça ne paraît pas mais il y a du boulot. COD MW3 sort dans quelques temps, il ne faudrait pas que nous ayons perdu notre skill…bref, ça bosse !

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Marque : ROCCAT