Il fut une époque où Samsung, et d'autres d'ailleurs, étaient au milieu de scandales concernant les dalles des télévisions. Des informations inaccessibles au consommateur avant achat, achat qui pouvait être une mauvaise affaire selon les cas.
Puis vient le petit tollé sur le SoC embarqué par le Galaxy S4, tout d'abord annoncé comme un Exynos mais pouvant finalement être un Snapdragon 600. Toujours sans que l'on sache vraiment ce qu'on achète, sans pouvoir comparer les performances entre les deux.
Aujourd'hui, nouvelle déconvenue pour la marque coréenne, Anandtech ayant mis en lumière une petite variable dans le code : BENCH_BOOSTER_CPU_MAX...
Tout simplement, selon le programme lancé, ici des logiciels de bench, le téléphone va modifier la fréquence des composants pour aller un peu plus vite, voire une utilisation des cores A15 et non A7.
Une petite modification qui permet donc au téléphone phare de Samsung de prendre la tête sur quelques benchs, sans que cela ne reflète réellement les performances réelles du téléphones.
A nos yeux, si la pratique est forcément douteuse, elle ne rend pas plus pigeon un consommateur qui s'appuie sur ce type de bench, qui ne met nullement en avant les points principaux d'un téléphone : la qualité de l& conversation téléphonique et de l'accroche, ainsi que son autonomie.
Certes, avec les smartphones, on fait bien plus, mais un score de bench ne reflètera jamais la qualité du surf ou bien les performances en jeu. A moins de vérifier si on a la plus grosse (performance), on regarde les retours utilisateurs sur les jeux, tout simplement.
Heureusement qu'il y a Windows Phone pour nous rappeler que même 512Mo de mémoire vive peuvent largement suffire...
Mise à jour
Logiquement, Samsung dément l'utilisation d'un tel procédé, et s'explique. La firme permet un fonctionnement du SoC à cette fréquence si l'application utilisée est en mode plein écran, sans la barre de navigation. Tous les benchs et jeux ne passant pas en plein écran, il est donc normal de trouver des différences.
A confirmer.
Puis vient le petit tollé sur le SoC embarqué par le Galaxy S4, tout d'abord annoncé comme un Exynos mais pouvant finalement être un Snapdragon 600. Toujours sans que l'on sache vraiment ce qu'on achète, sans pouvoir comparer les performances entre les deux.
Aujourd'hui, nouvelle déconvenue pour la marque coréenne, Anandtech ayant mis en lumière une petite variable dans le code : BENCH_BOOSTER_CPU_MAX...
Tout simplement, selon le programme lancé, ici des logiciels de bench, le téléphone va modifier la fréquence des composants pour aller un peu plus vite, voire une utilisation des cores A15 et non A7.
Une petite modification qui permet donc au téléphone phare de Samsung de prendre la tête sur quelques benchs, sans que cela ne reflète réellement les performances réelles du téléphones.
A nos yeux, si la pratique est forcément douteuse, elle ne rend pas plus pigeon un consommateur qui s'appuie sur ce type de bench, qui ne met nullement en avant les points principaux d'un téléphone : la qualité de l& conversation téléphonique et de l'accroche, ainsi que son autonomie.
Certes, avec les smartphones, on fait bien plus, mais un score de bench ne reflètera jamais la qualité du surf ou bien les performances en jeu. A moins de vérifier si on a la plus grosse (performance), on regarde les retours utilisateurs sur les jeux, tout simplement.
Heureusement qu'il y a Windows Phone pour nous rappeler que même 512Mo de mémoire vive peuvent largement suffire...
Mise à jour
Logiquement, Samsung dément l'utilisation d'un tel procédé, et s'explique. La firme permet un fonctionnement du SoC à cette fréquence si l'application utilisée est en mode plein écran, sans la barre de navigation. Tous les benchs et jeux ne passant pas en plein écran, il est donc normal de trouver des différences.
A confirmer.
source : THFR
Marque : Samsung
Partagez :
Posté le 31 Juillet 2013 à 10:41 par Sébastien Vandeborre
