Après les nouveautés produits, passons à une rapide visite de Barcelone. Rapide, car nous avons pris juste deux trois heures pour faire un tour global, autre que le quartier gothique où nous étions.
On attaque avec le Parc Güell. Pour y arriver, deux méthodes : le bus, ou le métro puis la marche. C'est cette dernière option que nous avons retenue, histoire de nous faire les jambes. Car la pente est rude, et même si plusieurs escalators sont présents, il faut pas mal marcher...
Une fois en haut, on accède à un parc qui offre une belle vue sur une partie de la ville, ainsi qu'une particularité qui nous semble locale : des inscriptions sur les cactus.
Un peu de marche, de la montée, de la descente, et on arrive à l'entrée du parc et de l'esplanade. Entrée qui est payante si on veut profiter des réalisations de Gaudí. Par personne, huit euros, ce qui n'est pas donné, soyons honnêtes.
On se promène, on profite de la météo clémente (en cette saison), on admire, et puis c'est tout... Les sculptures sont intéressantes, originales, mais nous n'en garderons pas un souvenir impérissable, surtout vu le billet d'entrée.
L'ensemble fait très pain d'épice, surtout les deux bâtiments à l'entrée du bas.
Pour un mois de février, nous avons trouvé qu'il y avait beaucoup de touristes. Attirés par le salon ou bien profitant des vacances au soleil plutôt qu'à la montagne, très certainement ; ce qui laisse penser qu'en été, la visite ne doit pas être de tout repos, et encore moins la montée jusqu'au parc si les gens s'arrêtent tous les deux mètres. Ce que nous pouvons parfaitement comprendre d'ailleurs, même si nos corps d'athlètes nous ont permis de monter, tout en tenant des séances d'apnée...
Bref, on radote, c'est joli, mais terriblement cher.
On attaque avec le Parc Güell. Pour y arriver, deux méthodes : le bus, ou le métro puis la marche. C'est cette dernière option que nous avons retenue, histoire de nous faire les jambes. Car la pente est rude, et même si plusieurs escalators sont présents, il faut pas mal marcher...
Une fois en haut, on accède à un parc qui offre une belle vue sur une partie de la ville, ainsi qu'une particularité qui nous semble locale : des inscriptions sur les cactus.
Un peu de marche, de la montée, de la descente, et on arrive à l'entrée du parc et de l'esplanade. Entrée qui est payante si on veut profiter des réalisations de Gaudí. Par personne, huit euros, ce qui n'est pas donné, soyons honnêtes.
On se promène, on profite de la météo clémente (en cette saison), on admire, et puis c'est tout... Les sculptures sont intéressantes, originales, mais nous n'en garderons pas un souvenir impérissable, surtout vu le billet d'entrée.
L'ensemble fait très pain d'épice, surtout les deux bâtiments à l'entrée du bas.
Pour un mois de février, nous avons trouvé qu'il y avait beaucoup de touristes. Attirés par le salon ou bien profitant des vacances au soleil plutôt qu'à la montagne, très certainement ; ce qui laisse penser qu'en été, la visite ne doit pas être de tout repos, et encore moins la montée jusqu'au parc si les gens s'arrêtent tous les deux mètres. Ce que nous pouvons parfaitement comprendre d'ailleurs, même si nos corps d'athlètes nous ont permis de monter, tout en tenant des séances d'apnée...
Bref, on radote, c'est joli, mais terriblement cher.
source : Cowcotland
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Posté le 01 Mars 2014 à 11:42 par Sébastien Vandeborre
