Accumuler les offres promotionnelles des plateformes de jeux vidéos c’est bien, pouvoir y jouer c’est mieux. Une étude menée par le site Ars Technica met en avant le delta qui existe entre les titres achetés et ceux réellement joués, et le résultat est sans appel.
Qui n’a pas craqué et répondu aux doux chants des vendeurs de jeux vidéos qui à grand renfort de publicités invasives et de promotions tonitruantes font appel à votre porte-monnaie. Il semblerait pourtant que notre appétit dépasse largement le temps que nous pouvons leur accorder, en d'autre terme nous aurions les yeux beaucoup gros que le ventre.
37% exactement des titres ne sont pas joués d’après l’étude de notre confrère. L’enquête se veut rigoureuse et porte sur un échantillon de 172 millions de comptes steam à raison de 90 000 utilisateurs jour, et ce durant 2 mois. Les résultats comme l’atteste le graphique ci-contre sont éloquents !
Plusieurs hypothèses peuvent venir expliquer ce phénomène. La multiplication des offres promotionnelles en pack où seul une partie des titres intéressent l’acheteur.
La diversité et le volume de l’offre qui sollicite sans cesse le joueur et qui peut dans certains cas, lui faire consommer plus que ce à quoi il pourra jouer. L’industrie du jeu vidéo est florissante, mais elle se heurte à un problème majeur le fameux temps de cerveau disponible !
Qui n’a pas craqué et répondu aux doux chants des vendeurs de jeux vidéos qui à grand renfort de publicités invasives et de promotions tonitruantes font appel à votre porte-monnaie. Il semblerait pourtant que notre appétit dépasse largement le temps que nous pouvons leur accorder, en d'autre terme nous aurions les yeux beaucoup gros que le ventre.
37% exactement des titres ne sont pas joués d’après l’étude de notre confrère. L’enquête se veut rigoureuse et porte sur un échantillon de 172 millions de comptes steam à raison de 90 000 utilisateurs jour, et ce durant 2 mois. Les résultats comme l’atteste le graphique ci-contre sont éloquents !
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La diversité et le volume de l’offre qui sollicite sans cesse le joueur et qui peut dans certains cas, lui faire consommer plus que ce à quoi il pourra jouer. L’industrie du jeu vidéo est florissante, mais elle se heurte à un problème majeur le fameux temps de cerveau disponible !
source : Ars Technica
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Posté le 16 Avril 2014 à 11:55 par Nicolas BOUTET
