Aperçu lors du Computex 2014, le Streacom F12C n'avait pas retenu notre attention. Pourtant, l'année suivante, nous avons pris grand plaisir à le redécouvrir, accompagné au passage du DB10.
Il faut dire que c'est en installant les composants qu'on comprend réellement l'intérêt du boitier.
Clairement, le boitier est sobre, très sobre. Peut-être trop, puisque la façade ne comprend que le bouton Power est un cache pour un récepteur IR. Point de connectique, tout se fera donc derrière !
Heureusement, on trouve un peu d'originalité avec le système d'ouverture du capot, via deux vis sans fin. C'est fun, bien pensé, mais finalement pas évident sur la fin pour soulever le capot. Ou presque, puisqu'il suffit d'enlever les filtres magnétiques pour gagner en facilité.
Une fois le boitier ouvert, on découvre un châssis tout aussi sobre que l'extérieur. Ou pauvre, chacun aura son avis. Puis on tombe sur des petites fixations à gauche et à droite, des barres verticales qui sont maintenues via des clips. On enlève, on fixe un radiateur, un disque dur, deux disques durs, ou bien trois, soyons fous, puis on remet l'ensemble et on replace le clips pour tout verrouiller. Simple, rapide, et diablement efficace ! Et en plus, le maintien est excellent.
Du coup, l'utilisateur a vraiment le choix et peut installer librement les composants, que ce soit des disques, des radiateurs ou des ventilateurs. Et comme la notice est particulièrement bien faite et explicite, aucun risque de se tromper.
Reste le tarif, 240€, qui est très élevé même si le boitier est en aluminium avec une superbe finition, plus proche de SilverStone que de Lian Li pour le traitement. Mais à la Ferme, nous sommes désormais fans du concept !
Il faut dire que c'est en installant les composants qu'on comprend réellement l'intérêt du boitier.
Clairement, le boitier est sobre, très sobre. Peut-être trop, puisque la façade ne comprend que le bouton Power est un cache pour un récepteur IR. Point de connectique, tout se fera donc derrière !
Heureusement, on trouve un peu d'originalité avec le système d'ouverture du capot, via deux vis sans fin. C'est fun, bien pensé, mais finalement pas évident sur la fin pour soulever le capot. Ou presque, puisqu'il suffit d'enlever les filtres magnétiques pour gagner en facilité.
Une fois le boitier ouvert, on découvre un châssis tout aussi sobre que l'extérieur. Ou pauvre, chacun aura son avis. Puis on tombe sur des petites fixations à gauche et à droite, des barres verticales qui sont maintenues via des clips. On enlève, on fixe un radiateur, un disque dur, deux disques durs, ou bien trois, soyons fous, puis on remet l'ensemble et on replace le clips pour tout verrouiller. Simple, rapide, et diablement efficace ! Et en plus, le maintien est excellent.
Du coup, l'utilisateur a vraiment le choix et peut installer librement les composants, que ce soit des disques, des radiateurs ou des ventilateurs. Et comme la notice est particulièrement bien faite et explicite, aucun risque de se tromper.
Reste le tarif, 240€, qui est très élevé même si le boitier est en aluminium avec une superbe finition, plus proche de SilverStone que de Lian Li pour le traitement. Mais à la Ferme, nous sommes désormais fans du concept !
source : Cowcotland
Marque : Streacom
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Posté le 25 Novembre 2015 à 14:29 par Sébastien Vandeborre
