LDLC n'a pas que des sabres laser dans ses cartons et compte également investir le marché du périphérique PC avec un premier produit : le Nemeio. Au menu, un clavier personnalisable qui nous renvoie très loin en arrière et qui rappellera aux plus anciens les projets Optimus du studio Art. Lebedev, qui n'ont jamais réellement abouti... La technologie a cependant bien évolué, les ambitions sont également différentes, et donc exit les touches avec des écrans OLED, remplacées ici par de l'encre électronique. Les avantages sont nombreux, à commencer par la consommation plus faible qui permet au clavier d'être sans fil et de se connecter via Bluetooth à n'importe quel produit compatible.
Ne reste ensuite qu'à utiliser le logiciel, en fait une web app, pour configurer le clavier. Et si le layout ne change pas, il sera tout de même possible de passer de l'AZERTY ou bépo en passant par d'autres formats ou langues. Tout en ayant la possibilité d'utiliser directement des raccourcis, notamment sur les seize touches du haut. La bibliothèque contient des pictogrammes de base, et il est question de pouvoir importer ses propres images.
Beaucoup de promesses donc, sans parler du châssis en aluminium (304 x 179 x 11mm, sans le pied, pour 600g), du port USB Type-C pour une connexion directe et la charge, ou encore du port USB Type-A pour faire l'inverse, soit charger un téléphone par exemple. N'oublions pas les boutons pour changer de profil à la volée et gérer l'éclairage.
Un concept intéressant donc, qui reste à prendre en main pour se faire une idée de la frappe. Quant au tarif, nous en serons plus prochainement avec une campagne de financement participatif.
A découvrir ici.
Ne reste ensuite qu'à utiliser le logiciel, en fait une web app, pour configurer le clavier. Et si le layout ne change pas, il sera tout de même possible de passer de l'AZERTY ou bépo en passant par d'autres formats ou langues. Tout en ayant la possibilité d'utiliser directement des raccourcis, notamment sur les seize touches du haut. La bibliothèque contient des pictogrammes de base, et il est question de pouvoir importer ses propres images.
Beaucoup de promesses donc, sans parler du châssis en aluminium (304 x 179 x 11mm, sans le pied, pour 600g), du port USB Type-C pour une connexion directe et la charge, ou encore du port USB Type-A pour faire l'inverse, soit charger un téléphone par exemple. N'oublions pas les boutons pour changer de profil à la volée et gérer l'éclairage.
Un concept intéressant donc, qui reste à prendre en main pour se faire une idée de la frappe. Quant au tarif, nous en serons plus prochainement avec une campagne de financement participatif.
A découvrir ici.
source : Cowcotland
Marque : LDLC
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Posté le 05 Janvier 2019 à 10:18 par Sébastien Vandeborre
