LeGraude a écrit: |
Valiant a écrit: | Quel fatalisme illusoire, et quelle adoration de l'homme...!
En fait tu oublie le paramètre "temps", mais c'est le propre de l'être humain, de ne pas être capable d'imaginer plus loin que sa propre existence.
La réalité c'est que tôt ou tard, on y passeras tous.
Et une fois que ce seras fait la terre disparaitras à son tour etc...
Le cycle de la vie, mais du point de vue de l'univers, et non avec le regard limité de l'homme.
Alors en l'an 42231, plus rien ne seras, du moins tel qu'on le connait, et on aurais fait notre temps, même si on ne pollue plus, que l'on répare tout etc... d'ici là.
Il n'y as pas de miracles, et encore moins pour sauvegarder une espèce bien moins sage et déconnectée de son environnement que toutes les autres. |
Euh, adoration de l’homme ? Tu as réussi à voir de l’adoration de l’homme dans ce que j’ai dit ? J’ai beau lire et relire, vraiment je ne trouve pas où ni comment tu as pu tomber sur cette conclusion...
@akathriel : l’article de Patrick Giraudoux parle de la définition anthropocentrée de la notion de santé d’un écosystème et de son usage erroné pour définir des politiques de protection de ces écosystèmes. Moi, je ne considère pas qu’un écosystème est en danger quand l’homme y intervient, sauf cas exceptionnel du genre site d’essai nucléaire, mais qu’il est modifié de manière exogène ce qui modifie son fonctionnement normal. Si tu trouves que c’est un concept cliché, ok. Quand à faire un topic, moi je n’ai fait que répondre ! |