Ashuura a écrit: |
J'espère que non, car si les tests arrivent en même temps que leur mise à disposition, j'aimerais pouvoir lire. Bon après je regarde toujours les dispos des 3080 mais je reste fort pour le moment, puisque celle qui m'intéressait surtout c'est la FE. |
Arpenteur2 a écrit: |
Après environ 3 ans de travail au sein de mon entreprise, avec un impact économique bénéfique pour l'entreprise, j'étais informé le 1er septembre que mon poste de week end allait être supprimé.
Optimisation du temps de travail, baisse partielle de la charge de travail, des raisons tout à fait recevables. On me proposait de basculer de 2x12h de week end en 3x8 en semaine, à 45 kilomètres de ma femme et mes deux enfants de 4 ans. Suite à entretient avec le directeur du site, puis du directeur de la moitié Sud de France (sisi, Lyon c'est le Sud), on convenait que je ne viendrait pas en semaine et qu'il fallait me licencier. J'ai reçu 3 jours après une modification de mes horaires, me faisant venir en temps partiel (puisque je fais un 60% payé 100%) en 3x8, 3 jours par semaine. Je ne suis pas juriste et après tout, à quoi bon ? Mais j'ai perdu 3 mois à ne pas démarrer d'autres démarches que de la consultation d'offres potentielles, pour leurs laisser le temps de finir la saison (oui, au passage la charge de travail remontait sur mi septembre et octobre), et de rompre notre mariage professionnel correctement. Et parce que des paroles ne sont que des paroles. Me voici acculé, j'ai rédigé ma démission. C'est la première de ma vie. C'est franchement tuant, après tous les sacrifices, les coins arrondis dans le sens de l'entreprise... Il va falloir retrouver du taff en cette période de Novembre, en confinement, bien moins propice qu'un moi de septembre. Et bien sur sans filet, sans droits. ps : la convention collective a l'ascendant sur n'importe quel contrat de travail rédigé sous son effet. Et à me donner un statut inférieur à mes diplômes, ils ont gagnés le droit de se manger un préavis divisé par deux. Et quitte à être mesquin, je rajoute la demande d’exonération de préavis (sur décision de l'employeur en cas de démission, sur décision de l'employé en cas de licenciement). Autant perdre sans traîner. |
Arpenteur2 a écrit: |
Après environ 3 ans de travail au sein de mon entreprise, avec un impact économique bénéfique pour l'entreprise, j'étais informé le 1er septembre que mon poste de week end allait être supprimé.
Optimisation du temps de travail, baisse partielle de la charge de travail, des raisons tout à fait recevables. On me proposait de basculer de 2x12h de week end en 3x8 en semaine, à 45 kilomètres de ma femme et mes deux enfants de 4 ans. Suite à entretient avec le directeur du site, puis du directeur de la moitié Sud de France (sisi, Lyon c'est le Sud), on convenait que je ne viendrait pas en semaine et qu'il fallait me licencier. J'ai reçu 3 jours après une modification de mes horaires, me faisant venir en temps partiel (puisque je fais un 60% payé 100%) en 3x8, 3 jours par semaine. Je ne suis pas juriste et après tout, à quoi bon ? Mais j'ai perdu 3 mois à ne pas démarrer d'autres démarches que de la consultation d'offres potentielles, pour leurs laisser le temps de finir la saison (oui, au passage la charge de travail remontait sur mi septembre et octobre), et de rompre notre mariage professionnel correctement. Et parce que des paroles ne sont que des paroles. Me voici acculé, j'ai rédigé ma démission. C'est la première de ma vie. C'est franchement tuant, après tous les sacrifices, les coins arrondis dans le sens de l'entreprise... Il va falloir retrouver du taff en cette période de Novembre, en confinement, bien moins propice qu'un moi de septembre. Et bien sur sans filet, sans droits. ps : la convention collective a l'ascendant sur n'importe quel contrat de travail rédigé sous son effet. Et à me donner un statut inférieur à mes diplômes, ils ont gagnés le droit de se manger un préavis divisé par deux. Et quitte à être mesquin, je rajoute la demande d’exonération de préavis (sur décision de l'employeur en cas de démission, sur décision de l'employé en cas de licenciement). Autant perdre sans traîner. |
Arpenteur2 a écrit: |
Après environ 3 ans de travail au sein de mon entreprise, avec un impact économique bénéfique pour l'entreprise, j'étais informé le 1er septembre que mon poste de week end allait être supprimé.
Optimisation du temps de travail, baisse partielle de la charge de travail, des raisons tout à fait recevables. On me proposait de basculer de 2x12h de week end en 3x8 en semaine, à 45 kilomètres de ma femme et mes deux enfants de 4 ans. Suite à entretient avec le directeur du site, puis du directeur de la moitié Sud de France (sisi, Lyon c'est le Sud), on convenait que je ne viendrait pas en semaine et qu'il fallait me licencier. J'ai reçu 3 jours après une modification de mes horaires, me faisant venir en temps partiel (puisque je fais un 60% payé 100%) en 3x8, 3 jours par semaine. Je ne suis pas juriste et après tout, à quoi bon ? Mais j'ai perdu 3 mois à ne pas démarrer d'autres démarches que de la consultation d'offres potentielles, pour leurs laisser le temps de finir la saison (oui, au passage la charge de travail remontait sur mi septembre et octobre), et de rompre notre mariage professionnel correctement. Et parce que des paroles ne sont que des paroles. Me voici acculé, j'ai rédigé ma démission. C'est la première de ma vie. C'est franchement tuant, après tous les sacrifices, les coins arrondis dans le sens de l'entreprise... Il va falloir retrouver du taff en cette période de Novembre, en confinement, bien moins propice qu'un moi de septembre. Et bien sur sans filet, sans droits. ps : la convention collective a l'ascendant sur n'importe quel contrat de travail rédigé sous son effet. Et à me donner un statut inférieur à mes diplômes, ils ont gagnés le droit de se manger un préavis divisé par deux. Et quitte à être mesquin, je rajoute la demande d’exonération de préavis (sur décision de l'employeur en cas de démission, sur décision de l'employé en cas de licenciement). Autant perdre sans traîner. |
loukass a écrit: |
T'es sur que c'est pas une question d'adaptateur ? |
Arpenteur2 a écrit: |
@martin
Je suis le seul. Ce n'est pas un plan, ce n'est même pas ne suppression de poste : ils changent mes horaires. Je pense qu'il y aurait de quoi faire un procès et le gagner, mais j'ai pas trop de temps à perdre. Bien sur qu'une démission me met à poil. Mais là on m'insert un truc dans le fondement. Des sensations nouvelles, mais pas agréables. Et j'ai pas l'intention de rester jusqu'à ce que ça le devienne. |
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