Toshiba Satellite P200-1D0, page 2

Le P200 est arrivé par transporteur ... dans un sac à dos. Cela a été pour le moins surprenant. Il est donc livré dans une sacoche siglée Toshiba que nous détaillerons rapidement puisqu'elle ne figure pas au bundle de la machine. A l'intérieur, on a donc le portable, son bloc d'alimentation et c'est tout ! Impossible d'en dire plus, aucun CD que ce soit de driver ou de restauration ne s'y trouvait. Cela ne sera pas le cas de la version commerciale bien sûr.



Un rapide mot sur le sac à dos. Noir à l'extérieur et rouge à l'intérieur, il comporte 3 poches : une à l'avant, assez grande qui permet de stocker bloc d'alimentation, CD et divers objets, deux grandes poches centrales, une permet d'y poser le portable et l'autre de mettre des dossiers. On a également, sur le côté droit, une petite poche pour le téléphone portable ou un lecteur multimédia. A gauche, on a aussi une poche un peu plus grande. Inutile d'en dire plus, d'autres photos sont disponibles dans la galerie.



Découvrons maintenant le P200. D'une dimension de 41 x 29 x 3,5 cm pour un poids de 3,6 kg, il a une coque en plastique noir laqué extrêmement brillante. Certes ce type de finition est agréable à l'oeil mais on constate un nombre important de reflets et un goût prononcé pour les traces de doigts. Le plastique employé est loin d'être d'une grande qualité puisqu'on a pu constater un éclat au niveau des charnières et une simple pression du doigt fait plier aisément le plastique. Au centre, en lettres argentés, on retrouve le logo de la marque.



Continuons par le tour du P200. L'arrière ne présente aucun intérêt puisqu'il n'y a aucun port, question de choix même si l'entrée pour l'alimentation nous semble judicieux à cet endroit.

Vous pourrez aussi observer l'éclat mentionner plus haut. On s'intéresse donc d'abord au côté gauche où sont de gauche à droite, l'entrée pour l'alimentation, la sortie VGA, une grille d'aération pour évacuer toute la chaleur, le port ethernet, 2 ports USB 2.0, une sortie S-Video, un port mini-firewire et une sortie HDMI avec au-dessus, l'emplacement Express Card.

Sur le côté droit, de gauche à droite, on retrouve 4 ports USB 2.0, superposés 2 par 2, un port RJ11, le lecteur HD-DVD puis le lock Kensington sous lequel on a une deuxième grille d'aération. On constate que la connectique est très fournie ce qui est très appréciable. Ce qui est regrettable, comme déjà dit, sont l'emplacement de l'alimentation et même du port Ethernet. De même, la disposition des ports USB n'est pas idéale à mon sens car en étant placé l'un au-dessus de l'autre, on en perd un dès qu'on met une clé USB un peu épaisse (comme certains lecteurs MP3).



Poursuivons avec l'avant qui concentre la connectique audio sauf l'extrême gauche où on a un bouton poussoir qui permet d'activer le Wifi. Il est accompagné d'une petite diode lumineuse qui vire à l'orange quand le Wifi est activé. A côté, on retrouve les ports audio avec dans l'ordre, le line-in, l'entrée micro, la sortie S/PDIF, la prise casque. Pour gérer le volume, on a une vis sans fin, très pratique mais assez déroutante à l'usage. Enfin, on a le lecteur de cartes SD, Memory Stick, Memory Stick Pro, MultiMedia et xD-Picture.





Terminons notre tour du propriétaire par le dessous. Celui-ci est assez habituel, outre les 4 patins en silicone situés aux quatre extrémités, on a deux aérations circulaires, un peu petite, qui correspondent aux ventilateurs du CPU et de la carte graphique. En haut à droite, on observe le subwoofer. Sinon, les différents éléments matériels du portable sont accessibles par 3 trappes.

La batterie est de forme rectangulaire et ne sort pas vers l'extérieur, ce qui oblige à retourner le portable pour l'extraire. Celle-ci est une 6 cellules affichant une capacité de 4111 mAh.

En regardant de plus près sous les trappes, on voit qu'on a accès au disque dur de marque Hitachi tournant à 5400 tours/minutes d'une capacité de 160GB. La bonne surprise est qu'il y a un emplacement vide pour en installer un second et donc à terme on peut bénéficier d'un système en RAID. La dernière trappe permet d'accéder à la RAM sur laquelle il n'y a aucune information. Ce sont les seuls éléments accessibles aisément. L'accès à l'ensemble du sytème nécéssite un démontage complet fastidieux. Il est temps à présent de l'ouvrir.